Lesparents vont payer l'auxiliaire de vie scolaire. Le gouvernement se targue d'avoir scolarisé 60000 enfants handicapés depuis la loi de 2005, laissant un député de la majorité se féliciter qu'il n'y ait "que" 15 % d'enfants handicapés qui ne le soient pas dans son département ( question 1268 du 1er février 2011 à l'Assemblée nationale)
Afin de favoriser la scolarisation en milieu ordinaire des enfants en situation de handicap, le Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation PPS dĂ©finit les besoins et les amĂ©nagements nĂ©cessaires au bon dĂ©roulement de la scolaritĂ© de l’élĂšve. Dans les amĂ©nagements possibles, le recours Ă  l’aide humaine peut ĂȘtre prescrite. AVS Auxiliaire de Vie Scolaire, AESH Accompagnant des ElĂšves en Situation de Handicap, quelles sont les diffĂ©rences et les principales missions de ces mĂ©tiers d’accompagnants? Comment obtenir l’attribution de cette aide humaine? AVS et AESH accompagner la scolaritĂ© des Ă©lĂšves handicapĂ©es L’AVS et l’AESH sont deux types d’accompagnants Ă  la scolaritĂ© d’élĂšves en situation de handicap. L’Auxiliaire de Vie Scolaire AVS travaille sous Contrat Unique d’insertion CUI dĂ©livrĂ© par PĂŽle Emploi. L’Accompagnant des ElĂšves en Situation de Handicap AESH est recrutĂ© par l’Education Nationale. RecrutĂ© d’abord en CDD puis en CDI, il est titulaire soit Du baccalaurĂ©at ou Ă©quivalent Du DiplĂŽme d’État d’Accompagnant Éducatif et Social DEAES diplĂŽme niveau V CAP. Les AVS ayant exercĂ©s pendant au moins neuf mois, peuvent Ă©galement prĂ©tendre au statut d’AESH. AESH, un statut pour sĂ©curiser et valoriser le rĂŽle des accompagnants Le statut d’AESH, Accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap, permet d’amĂ©liorer les conditions d’emploi des accompagnants en sĂ©curisant, en revalorisant et en renforçant l’appartenance Ă  la communautĂ© Ă©ducative. Reconnus comme membres Ă  part entiĂšre des Ă©quipes Ă©ducatives, les AESH sont accueillis comme tels par l’équipe pĂ©dagogique. Ils rencontrent les parents et l’enseignant avant le dĂ©marrage de l’accompagnement et participent aux rĂ©unions de suivi de la scolarisation des Ă©lĂšves. Les missions des AESH et AVS Trois formes d’aide pour accompagner l’élĂšve en situation de handicap Les AESH et AVS interviennent sous trois formes d’accompagnement de l’élĂšve dans sa scolaritĂ©, sur les diffĂ©rents temps de vie et lieux scolaires stages, sorties et voyages. > Accompagner les actes de la vie quotidienne L’intervenant accompagne l’élĂšve dans les actes de la vie quotidienne. Il doit s’assurer que les conditions de sĂ©curitĂ© et de confort de l’élĂšve soient remplies. Il aide aux actes essentiels de la vie lever, coucher, habillage et dĂ©shabillage, toilette, prise des repas alimentation selon le rĂ©gime prescrit, la bonne hydratation, le passage aux toilettes. Il incite Ă  la mobilitĂ© en participant Ă  l’installation matĂ©rielle de l’élĂšve dans les lieux de vie. Il agit auprĂšs de l’élĂšve pour lui permettre et lui faciliter les dĂ©placements dans l’établissement et Ă  l’extĂ©rieur. > Accompagner l’accĂšs Ă  l’apprentissage Sans doute une des missions les plus importantes de l’AESH ou l’AVS, est l’accompagnement de l’élĂšve en situation de handicap dans l’accĂšs aux activitĂ©s d’apprentissage. Il s’agit pour lui de Favoriser les activitĂ©s sensorielles, motrices et intellectuelles de l’élĂšve Faciliter l’expression de l’élĂšve, l’aider Ă  communiquer Rappeler les rĂšgles Ă  observer durant les activitĂ©s Contribuer Ă  l’adaptation de la situation d’apprentissage, en lien avec l’enseignant et soutenir l’élĂšve dans la comprĂ©hension et dans l’application des consignes Assister l’élĂšve dans l’activitĂ© d’écriture et la prise de notes, Lors des Ă©preuves d’examens, de concours et d’évaluations appliquer les consignes prĂ©vues par la rĂ©glementation relative aux amĂ©nagements des conditions de passation de ces Ă©preuves. > Accompagner les activitĂ©s de la vie sociale et relationnelle L’accompagnant intervient Ă©galement auprĂšs de l’élĂšve lors des activitĂ©s de la vie sociale et relationnelle. Il participe Ă  l’accueil de l’élĂšve, il favoriser communication et interactions entre l’élĂšve et son environnement. Il sensibilise l’entourage scolaire de l’élĂšve au handicap et prĂ©vient les situations de crise, d’isolement, de conflit. L’AESH ou l’AVS soutient l’élĂšve dans sa participation aux activitĂ©s prĂ©vues. Aide individualisĂ©e et aide mutualisĂ©e Deux types d’aides peuvent ĂȘtre prescrites dans le cadre d’un accompagnement par un AESH ou un AVS l’aide individuelle et l’aide mutualisĂ©e. > L’aide individuelle L’aide individuelle est prĂ©conisĂ©e dans le cas d’un Ă©lĂšve requĂ©rant une attention soutenue et continue. Autrement dit, tout Ă©lĂšve qui ne peut rĂ©aliser les activitĂ©s d’apprentissage sans aide durant un temps donnĂ©. > L’aide mutualisĂ©e L’aide mutualisĂ©e est prĂ©conisĂ©e dans le cas d’élĂšves qui n’ont pas besoin d’une attention soutenue et continue. Ce type d’aide est rĂ©servĂ© aux AESH. Il accompagne plusieurs Ă©lĂšves en situation de handicap en mĂȘme temps ou sur des temps sĂ©parĂ©s dans le respect des notifications prĂ©vues par la CDAPH. C’est la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH qui fixe les activitĂ©s principales de l’AESH mutualisĂ©e, sans prĂ©cision de quotitĂ© horaire. La rĂ©partition du temps de travail de l’AESH mutualisĂ© auprĂšs des Ă©lĂšves qu’il accompagne se fait en concertation avec le directeur d’école ou le chef d’établissement. > L’aide collective en ULIS L’AESH peut Ă©galement accompagner des Ă©lĂšves orientĂ©s en ULIS unitĂ©s localisĂ©es pour l’inclusion scolaire. Il participe Ă  l’encadrement et l’animation d’actions Ă©ducatives conçues dans le cadre de l’ULIS. Il accompagne les Ă©lĂšves lors de temps d’inclusion en milieu ordinaire. Comment obtenir l’attribution d’un AESH ou un AVS ? La CDAPH attribue et dĂ©finit l’aide humaine La prescription d’une aide humaine relĂšve de la compĂ©tence de la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH dans le cadre du Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation PPS. En fonction des besoins et des compĂ©tences de l’élĂšve, la CDAPH dĂ©finit les modalitĂ©s de l’aide humaine individuelle ou mutualisĂ©e. Dans le cas de l’aide individuelle, la Commission fixe la quotitĂ© horaire. Dans le cas de l’aide mutualisĂ©e, la CDAPH dĂ©finit uniquement les activitĂ©s principales de l’AESH. La quotitĂ© horaire est fixĂ©e avec l’équipe de suivi de la scolaritĂ©. Demande par Ă©crit auprĂšs de la MDPH Pour effectuer une demande d’aide humaine, Il est recommandĂ© de la faire dans le cadre du Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation, aprĂšs rĂ©union et avec l’avis motivĂ© de l’équipe Ă©ducative et Ă©galement en lien avec l’enseignant rĂ©fĂ©rent qui accompagne la famille dans les demandes auprĂšs de la MDPH. A noter que si la prĂ©sence d’un accompagnant AESH ou AVS est prescrite dans le PPS, elle n’est en aucun cas une condition obligatoire Ă  la scolarisation. En savoir + AESH, fiche mĂ©tier Site du gouvernement Agissez avec Perce-Neige Faites un don Aumoment de la demande, ils doivent rĂ©diger une saisine. Et ils dĂ©cident jusqu’au bout, c’est-Ă -dire que mĂȘme aprĂšs avoir rĂ©digĂ© la saisine, mĂȘme aprĂšs la notification de la CDAPH, ils peuvent finalement refuser l’AVS. Quand il y a des difficultĂ©s, ce qui fait plus bouger les choses, c’est que les parents fassent remonter les
Aider un enfant prĂ©coce Ă  s’épanouir pendant sa scolaritĂ© Mis Ă  jour le 16 septembre 2019 Dr Jean-Paul BLANC 99% des parents ont trouvĂ© cet article utile. Contrairement aux idĂ©es reçues, la prĂ©cocitĂ© d’un enfant ne garantit pas sa rĂ©ussite scolaire. Un enfant prĂ©coce est un enfant plus rapide que les autres, qui comprend plus vite, qui raisonne de façon efficace mais qui pourrait avoir plus de difficultĂ©s pour Ă©crire, manquer de mĂ©thode, ne pas voir l’intĂ©rĂȘt de certains exercices, etc. Une fois la prĂ©cocitĂ© dĂ©pistĂ©e, il est possible de mettre en place des amĂ©nagements avec les enseignants, pour que votre enfant puisse s’épanouir et dĂ©velopper tout son potentiel. Écouter l'article 000 / 000 Votre navigateur ne supporte pas la lecture audio Comment reconnait-on la prĂ©cocitĂ© ? En grande section, un enfant prĂ©coce possĂšde des prĂ©-requis qu’on acquiert gĂ©nĂ©ralement plus tard. Le diagnostic de prĂ©cocitĂ© se pose gĂ©nĂ©ralement Ă  ce moment-lĂ . L’enfant sait lire sans qu’on lui ait appris, il va plus vite que ses camarades, rĂ©pond plus vite. Il a beaucoup d’humour. Ces comportements peuvent amener parfois les enseignants Ă  lui demander de se taire pour laisser le temps aux autres de rĂ©pondre. En attendant les autres, l’enfant prĂ©coce a rapidement tendance Ă  s’ennuyer et il peut dĂ©crocher ». Contrairement Ă  ce que l’on pourrait croire, les risques d’échec scolaires sont importants chez les enfants prĂ©coces et un tiers n’ira pas jusqu’au bac. Certains dĂ©veloppent des phobies scolaires, des troubles du comportement, des troubles de l’attention, une hyperactivitĂ©. L’effet pygmalion nĂ©gatif Pour se faire accepter des autres et ĂȘtre comme les autres », ils peuvent parfois abaisser leur niveau. C’est ce qu’on appelle l’effet pygmalion nĂ©gatif. Ils se conforment Ă  ce qu’on attend d’eux et feront, par exemple, exprĂšs de mal lire, de hacher les mots. Avec le risque qu’ils ne dĂ©veloppent pas pleinement leur potentiel. A cĂŽtĂ© de cela, les enfants prĂ©coces manquent de mĂ©thode leur pensĂ©e va vite, ils ont l’intuition de la solution plutĂŽt qu’ils ne la trouvent. De mĂȘme, quand on leur demande un effort rĂ©pĂ©titif, ils s’ennuient rapidement et ne vont, souvent, pas au bout. Eviter l’ennui aux enfants prĂ©coces Il est important que les enfants prĂ©coces soient identifiĂ©s afin d’amĂ©nager leur scolaritĂ©. Cela peut se faire de diffĂ©rentes façons, sachant qu’un des objectifs principaux reste d’éviter qu’ils s’ennuient. Ils doivent avoir du grain Ă  moudre » pour pouvoir rester avec les autres. L’enseignant peut demander des exercices supplĂ©mentaires, de prĂ©parer des exposĂ©s un enfant prĂ©coce est toujours passionnĂ© par des sujets trĂšs divers comme la prĂ©histoire, l’espace, l’astronomie, etc. Il peut ĂȘtre placĂ© Ă  cĂŽtĂ© d’un copain en difficultĂ©, pour l’aider. Ceci peut ĂȘtre valorisant pour lui. Un enfant prĂ©coce a tendance Ă  se remettre beaucoup en question. C’est pourquoi toutes ces activitĂ©s supplĂ©mentaires doivent faire l’objet d’un suivi. L’enseignant doit montrer Ă  l’enfant qu’il s’intĂ©resse autant Ă  lui qu’à ses camarades. Les exercices ne sont pas donnĂ©s pour se dĂ©barrasser » de lui ; ils ont un intĂ©rĂȘt rĂ©el. Doit-on faire sauter des classes Ă  un enfant prĂ©coce ? On peut faire sauter une classe le CP ou la grande section Ă  un enfant prĂ©coce. Au-delĂ , cela peut devenir dĂ©licat. Un enfant prĂ©coce reste un enfant. Une trop grande diffĂ©rence d’ñge avec ses camarades peut entraĂźner des problĂšmes affectifs et des dĂ©calages importants en termes de centres d’intĂ©rĂȘts. Les Ă©tablissements spĂ©cialisĂ©s dans la prĂ©cocitĂ© sont une solution » ultime, quand il n’y en a pas d’autres. Il y en a trĂšs peu en France, ce qui entraĂźne gĂ©nĂ©ralement un Ă©loignement de la famille et une sĂ©paration d’avec les parents. La scolaritĂ© est gĂ©nĂ©ralement plus rapide. Ces enfants peuvent se retrouver, vers 14 – 15 ans dans l’enseignement supĂ©rieur sans aucun repĂšre, avec des camarades bien plus ĂągĂ©s. Le choc peut ĂȘtre violent. Comment les parents peuvent accompagner la scolaritĂ© d’un enfant prĂ©coce ? On l’a dit, les enfants prĂ©coces apprennent vite et les tĂąches rĂ©pĂ©titives ne leur plaisent pas. Les parents peuvent les aider en illustrant les tĂąches scolaires Ă  faire Ă  la maison, en enrichissant le contenu et en montrant l’intĂ©rĂȘt
 Les enfants prĂ©coces savent raisonner et parfois manipuler » leur entourage pour se coucher plus tard, par exemple. Or, ce sont des enfants. Ils ont besoin d’un cadre et du mĂȘme traitement que leurs frĂšres et sƓurs quand cela concerne l’autoritĂ© et la vie de la famille. Vis-Ă -vis de l’école, discutez avec les enseignants, expliquez les particularitĂ©s de votre enfant et trouvez ensemble des amĂ©nagements. En bref Si vous avez un doute concernant la prĂ©cocitĂ© de votre enfant ou sa prise en charge, n’hĂ©sitez pas Ă  en parler Ă  votre mĂ©decin. Il vous orientera vers des spĂ©cialistes qui, le cas Ă©chĂ©ant, lui feront procĂ©der Ă  un test de QI WIPPSI avant 6 ans et WISC IV Ă  partir de 6 ans et vous donneront tous les conseils nĂ©cessaires. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? mpedia vous a aidĂ©, aidez mpedia en faisant un don Dernier don de Louane 5 € Comme Louane, soutenez une expertise indĂ©pendante et reconnue pour continuer Ă  ĂȘtre un parent bien informĂ©. Je soutiens mpedia, je fais un don Vous pouvez aussi ĂȘtre par Ma fille de 3 ans est-elle prĂ©coce ? La rĂ©ponse de l'expert Bonjour, Vous avez raison, votre fille est plutĂŽt en avance pour son Ăąge. Je suppose que c’est votre aĂźnĂ©e. Le contact exclusif prolongĂ© avec des adul... 3 question de parents - la derniĂšre il y a 5 ans Comportement perturbateur en classe Ă  7 ans La rĂ©ponse de l'expert Bonjour, Votre fils prĂ©sente ce qu’on appelle un trouble du comportement Ă  type d’instabilitĂ© psychomotrice, apparemment liĂ©e Ă  l’école, puisque ça a ... il y a 7 ans Comment dĂ©pister la prĂ©cocitĂ© chez un enfant ? La rĂ©ponse de l'expert Bonjour, Un psychologue clinicien fera un test WISC, c’est Ă  dire dĂ©terminera le Quotient intellectuel et, en fonction de ce qui vous tracasse chez vo... 1 question de parents - la derniĂšre il y a 7 ans Comment savoir si mon fils de 6 ans est prĂ©coce ? La rĂ©ponse de l'expert Bonjour Madame, Il est Ă©vident que votre enfant a un trĂšs bon potentiel intellectuel pour avoir appris Ă  lire seul. Effectivement les enfants Ă  haut p... il y a 2 ans Vous ne trouvez pas de rĂ©ponse Ă  votre question ? Vous pouvez consulter les rĂ©ponses dĂ©jĂ  apportĂ©es par nos mĂ©decins Ă  ce sujet en tapant votre question ou mots clĂ©s dans le moteur de recherche ci-dessous Toujours pas de rĂ©ponse ? Posez votre question Ă  l'un de nos experts qui vous rĂ©pondra rapidement. Je pose ma question Bonjour, Nos pĂ©diatres sont en vacances, la rubrique est fermĂ©e pour les congĂ©s d'Ă©tĂ© ! Nous vous retrouvons Ă  partir du lundi 29 aoĂ»t Ă  09h. Pour tout ce qui concerne la santĂ© de votre enfant, nous vous conseillons de prendre RDV directement avec le mĂ©decin de votre enfant. En cas d’urgence mĂ©dicale, composez le 15. TrĂšs bon Ă©tĂ© ! L'Ă©quipe mpedia. 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AprÚslecture des textes de loi, je pense qu'il faudrait prévoir une réunion de l'équipe éducative afin de définir précisément les missions d'accompagnement de l'AVS-I. Proposer un protocole d'accompagnement comme le prévoit l'annexe 2 de la circulaire n° 2003-093 du 11-6-2003 pourrait probablement faire avancer les choses.
FIGAROVOX/HUMEUR - Une Ă©tude rĂ©vĂšle que 49% des directeurs d'Ă©coles dĂ©clarent avoir Ă©tĂ© agressĂ©s, verbalement ou physiquement par des parents d'Ă©lĂšves pendant l'annĂ©e scolaire 2012-2013. Le tĂ©moignage d'un professeur de Girard est secrĂ©taire national Ă  la pĂ©dagogie du SNALC-FGAF syndicat des personnels de l'Éducation et de l'Enseignement supĂ©rieur . Il tient le blog sur l'Education nationale Je suis en retard» .Alors que sort une Ă©tude qui rĂ©vĂšle que la moitiĂ© des directeurs d'Ă©cole ont Ă©tĂ© agressĂ©s par des parents d'Ă©lĂšves lors de l'annĂ©e 2012-2013, les relations entre parents et professeurs n'ont, semble-t-il, jamais Ă©tĂ© aussi compliquĂ©es. Que s'est-il passĂ© pour qu'on en arrive lĂ ?Les parents sont de plus en plus prĂ©sents dans le systĂšme Ă©ducatif, et ce depuis que leurs reprĂ©sentants participent aux diffĂ©rentes instances conseil d'Ă©cole en primaire, conseil d'administration, commissions diverses et aussi conseil de classe au collĂšge et au lycĂ©e. Et il faut avouer que, parfois, les professeurs que je reprĂ©sente en ont marre. Mais quand il s'agit de remettre en cause notre enseignement, d'exiger la suppression d'une punition ou d'une mauvaise note, ou encore de venir en tant que reprĂ©sentants en conseil de classe dans l'unique but de dĂ©fendre leur fils ou leur fille et de casser du prof », lĂ , ça ne va plus. Qu'on s'entende bien il ne s'agit pas d'empĂȘcher tout dialogue entre professeurs ou chefs d'Ă©tablissement et parents, au contraire. Que les parents suivent la scolaritĂ© de leur enfant, s'informent, cherchent Ă  voir comment ils peuvent intervenir au mieux, c'est trĂšs bien. On fait d'ailleurs des pieds et des mains pour arriver Ă  en voir certains, et c'est souvent trĂšs compliquĂ© de rencontrer les parents avec lesquels on aurait vraiment besoin d'Ă©changer. Mais quand il s'agit de remettre en cause notre enseignement, d'exiger la suppression d'une punition ou d'une mauvaise note, de voter la rĂ©partition des heures de cours sans parfois qu'ils y comprennent quoi que ce soit ou encore de venir en tant que reprĂ©sentants en conseil de classe dans l'unique but de dĂ©fendre leur fils ou leur fille et de casser du prof», lĂ , ça ne va dans mon expĂ©rience personnelle, j'ai dĂ©jĂ  eu Ă  gĂ©rer ou j'ai dĂ©jĂ  vu mes collĂšgues gĂ©rer, et je pourrais multiplier les exemples Ma fille m'a dit que
 et que
 et encore que
, c'est intolĂ©rable ! ». Ta fille t'a menti, tu sais, alors calmons-nous. ‱le parent qui, sous un prĂ©texte futile, a appelĂ© l'Ă©tablissement et m'a dit au tĂ©lĂ©phone qu'il allait venir me casser la figure. À la fin de la conversation, il Ă©tait en pleurs en train de me remercier de tout ce que je faisais pour son fils. Mais il m'a fallu des trĂ©sors de dialogue et d'Ă©coute pour en arriver lĂ .‱Le parent qui me dit en rendez-vous sur un ton particuliĂšrement dĂ©sagrĂ©able, que je ne fais pas assez d'expression Ă©crite et que ce n'est pas normal. Je fais, hĂ©las, ce que je peux avec l'horaire qu'on me donne.‱Le reprĂ©sentant de parents qui, en conseil de classe, n'est venu que pour soutenir la chair de sa chair afin qu'elle ait les fĂ©licitations. Et pour ce faire, aucun souci s'il faut en passer par le fait d'allumer ma collĂšgue sur son travail devant le principal et les reprĂ©sentants des Ă©lĂšves. C'est tellement plus sympa de se payer un prof en public.‱Le parent qui a exigĂ© auprĂšs de mon chef d'Ă©tablissement que je retire des zĂ©ros qui avaient Ă©tĂ© mis pour tricherie. Les Ă©lĂšves avaient pourtant avouĂ©, reconnu leur erreur et trouvaient tout Ă  fait normale la sanction prise. Merci pour mon autoritĂ©. Et Ă  cĂŽtĂ© de ça, vous avez des parents qui viennent prendre rendez-vous car ils ne parviennent pas Ă  Ă©duquer leur enfant, car ce dernier s'enferme dans sa chambre Ă  jouer Ă  la console et l'on en vient Ă  leur suggĂ©rer de dĂ©brancher la prise de courant. ‱Le parent qui prend rendez-vous et qui, devant son enfant, me dit que vraiment, cet Ă©tablissement, c'est n'importe quoi et qu'il va mettre son enfant dans le privĂ©. Dommage, j'aurais bien aimĂ© qu'on parle des rĂ©elles difficultĂ©s scolaires de son fils, plutĂŽt.‱Ma fille m'a dit que
 et que
 et encore que
, c'est intolĂ©rable!». Ta fille t'a menti, tu sais, alors Ă  cĂŽtĂ© de ça, vous avez des parents qui viennent prendre rendez-vous car ils ne parviennent pas Ă  Ă©duquer leur enfant, car ce dernier s'enferme dans sa chambre Ă  jouer Ă  la console et l'on en vient Ă  leur suggĂ©rer de dĂ©brancher la prise de courant. Alors que certains semblent chercher par tous les moyens Ă  nous pourrir l'existence, d'autres dans le mĂȘme Ă©tablissement, dans la mĂȘme classe voient en nous le messie qui pourrait rĂ©soudre tous leurs problĂšmes, et civiliser l'adolescent tapageur que leur progĂ©niture est soudain heureusement, nous avons aussi les parents qui viennent simplement suivre la scolaritĂ© de leur fils ou de leur fille, qui leur rappellent qu'il faut travailler sĂ©rieusement, et qui, parfois, nous remercient et j'avoue que ça fait souvent du bien. En fait, on n'en demande pas davantage et les remerciements sont mĂȘme optionnels. Je propose qu'on aille plus loin et qu'on les laisse directement les parents enseigner. Ça tombe bien on ne parvient plus Ă  recruter de professeurs. Alors je comprends bien qu'en ces temps difficiles, les parents placent Ă©normĂ©ment d'espoir et d'inquiĂ©tudes dans leurs enfants. Je comprends bien qu'ils puissent mal prendre les choses nĂ©gatives qu'on leur renvoie parfois, et qu'ils se sentent remis en cause dans leur travail Ă©ducatif. Mais je refuse que notre institution facilite par tous les moyens sa propre destruction en confiant un pouvoir de plus en plus grand Ă  des personnes extĂ©rieures Ă  l'École, et qui doivent, pour que celle-ci soit respectĂ©e, le rester. Dernier avatar en date on expĂ©rimente dĂ©sormais l'orientation choisie par les parents en fin de TroisiĂšme, au mĂ©pris des rĂ©sultats de l'Ă©lĂšve, de nos avis de spĂ©cialistes et de notre connaissance du systĂšme. Je propose qu'on aille plus loin et qu'on les laisse directement enseigner. Ça tombe bien on ne parvient plus Ă  recruter de professeurs. On se demande bien pourquoi
Jean-RĂ©mi GIRARDSecrĂ©taire national Ă  la pĂ©dagogie du SNALC-FGAF syndicat des personnels de l'Éducation et de l'Enseignement supĂ©rieur
soutenirles parents confrontĂ©s Ă  un Ă©vĂ©nement fragilisant : accompagnement social, aide Ă  domicile, recours aux services du territoire (Laep, ludothĂšques, centres sociaux, etc.). C’est pourquoi, l’axe 1 est structurĂ© autour de quatre volets prioritaires : - soutenir le dĂ©veloppement des « pĂŽles ressources handicap » (volet 1) ; - accompagner les Eaje au-delĂ  du seul bonus
TouPI peut vous renseigner sur la procĂ©dure pour que votre enfant puisse obtenir l’assistance d’un AVS. Qu’est-ce qu’un AVS ? L’auxiliaire de vie scolaire AVS est une personne qui reste aux cĂŽtĂ©s de votre enfant en classe, afin de lui apporter une aide personnalisĂ©e. Une circulaire parue en juillet 2014 change l’appellation des AVS en AESH Accompagnant de l’ElĂšve en Situation de Handicap. On parle toutefois encore couramment d’AVS. L’AVS peut ĂȘtre prĂ©sent sur tout le temps scolaire de l’enfant, ou sur une partie de ce temps. Il existe plusieurs types d’AVS les AVS individuels AVS-i, affectĂ©s Ă  un enfant Ă  temps plein ou partiel dans ce cas, l’AVS peut travailler auprĂšs de plusieurs enfants sur des temps scolaires diffĂ©rents. Le nombre d’heures d’accompagnement individuel est spĂ©cifiĂ© par la MDPH. les AVS mutualisĂ©s AVS-m, affectĂ©s Ă  plusieurs enfants. C’est l’école qui s’organise pour le temps de prĂ©sence de l’AVS auprĂšs de chaque enfant, la MDPH ne spĂ©cifiant pas le nombre d’heures de chacun. les AVS collectifs AVS-co prĂ©sents dans les classes spĂ©cialisĂ©es CLIS, ULIS Comment faire la demande ? Une section du dossier MDPH est consacrĂ©e Ă  la demande d’AVS, mais il faut savoir que cette demande ne sera gĂ©nĂ©ralement pas traitĂ©e s’il n’y a pas eu une rĂ©union Ă  l’école, et une demande conjointe des parents et de l’équipe enseignante. Pour une premiĂšre demande d’AVS, la procĂ©dure est la suivante, que l’enfant soit dĂ©jĂ  scolarisĂ© ou non les parents doivent demander au directeur de l’école d’organiser une rĂ©union Ă©quipe Ă©ducative, largement en amont de la rentrĂ©e scolaire. En effet, afin de laisser Ă  la MDPH puis au rectorat le temps de traiter la demande d’AVS, la rĂ©union doit avoir lieu le plus tĂŽt possible pour une premiĂšre demande, de prĂ©fĂ©rence autour du mois de fĂ©vrier pour la rentrĂ©e de septembre, au plus tard en avril-mai sachant que mai peut dĂ©jĂ  ĂȘtre trop tard pour avoir un AVS en septembre. Une telle rĂ©union est possible avant mĂȘme une premiĂšre scolarisation cf. article 5 de la circulaire du 17 aoĂ»t 2006. Pour un enfant qui a dĂ©jĂ  un AVS, la demande de renouvellement se fera lors de la rĂ©union ESS Equipe de Suivi de Scolarisation, organisĂ©e au minimum une fois par an et pilotĂ©e par l’enseignant rĂ©fĂ©rent. Comment se dĂ©roule la rĂ©union Ă©quipe Ă©ducative ou Ă©quipe de suivi de scolarisation ? RĂ©union Ă©quipe Ă©ducative pour une premiĂšre demande d’amĂ©nagement de la scolaritĂ© par exemple une premiĂšre demande d’AVS participants les parents de l’enfant, le directeur de l’école ou chef d’établissement, les professionnels extĂ©rieurs qui suivent l’enfant professionnels en libĂ©ral, ou en SESSAD, IME, CMP, etc, Ă©ventuellement le futur enseignant de l’enfant, une personne de la crĂšche ou autre, le psychologue scolaire, le mĂ©decin scolaire, l’assistante sociale. Les parents peuvent ĂȘtre accompagnĂ©s par un parent d’élĂšve de l’école. document rempli GEVA-Sco premiĂšre demande RĂ©union ESS Equipe de Suivi de Scolarisation pour un renouvellement enfant bĂ©nĂ©ficiant dĂ©jĂ  d’une reconnaissance de handicap avec scolaritĂ© amĂ©nagĂ©e participants les parents de l’enfant, l’enseignant rĂ©fĂ©rent, le directeur de l’école ou chef d’établissement, l’enseignant de l’enfant ou le professeur principal au collĂšge et au lycĂ©e, l’AVS de l’enfant, les professionnels extĂ©rieurs qui suivent l’enfant professionnels en libĂ©ral, ou en SESSAD, IME, CMP, etc, Ă©ventuellement la psychologue scolaire, le mĂ©decin scolaire, l’assistante sociale. Les parents peuvent ĂȘtre accompagnĂ©s, en plus des pros qui suivent l’enfant, d’une personne de leur choix. document rempli GEVA-Sco renouvellement Au cours de cette rĂ©union Ă©quipe Ă©ducative ou ESS, le directeur de l’école ou l’enseignant rĂ©fĂ©rent va remplir le geva-sco, en y notant les informations donnĂ©es notamment par l’enseignant et l’AVS si l’enfant est dĂ©jĂ  scolarisĂ©. Le geva-sco est un document normalisĂ© national, que l’enseignant rĂ©fĂ©rent va envoyer Ă  la MDPH aprĂšs la rĂ©union. C’est Ă  partir de ce document que la MDPH va prendre ses dĂ©cisions concernant la scolaritĂ© de l’enfant. Il est donc primordial qu’il soit rempli correctement. Les geva-sco est avant tout destinĂ© Ă  l’équipe Ă©ducative, et il est souvent difficile pour les parents d’y faire ajouter leurs remarques. Noter toutefois qu’une case, en fin du geva-sco, permet aux parents de s’exprimer librement. Nous vous encourageons vivement Ă  en faire bon usage. En fin de rĂ©union ou dans les jours suivants, les parents doivent recevoir une copie du geva-sco. N’hĂ©sitez pas Ă  la rĂ©clamer si le directeur de l’école ou l’enseignant rĂ©fĂ©rent ne vous la remet pas. Si les parents sont en dĂ©saccord avec ce qui est formulĂ© dans le geva-sco, il est important d’en informer la MDPH, en lui Ă©crivant un courrier, ou en demandant Ă  ĂȘtre reçu par l’équipe pluridisciplinaire, qui Ă©value les demandes. Que se passe-t-il aprĂšs cette rĂ©union ? L’enseignant rĂ©fĂ©rent transmet le compte-rendu de la rĂ©union qui inclut le geva-sco Ă  la MDPH. L’équipe pluridisciplinaire de la MDPH va instruire le dossier, puis la MDPH va statuer en commission sur les demandes exprimĂ©es, notamment sur le temps d’AVS demandĂ© et les amĂ©nagements matĂ©riels demande d’ordinateur, etc. L’attente peut ĂȘtre assez longue avant passage en commission MDPH il faut compter plusieurs mois d’oĂč l’intĂ©rĂȘt de faire la rĂ©union en dĂ©but d’annĂ©e civile pour la rentrĂ©e scolaire de septembre, en cas de premiĂšre demande d’AVS. Suite Ă  la commission, la MDPH envoie Ă  la famille et au rectorat une notification d’AVS, indiquant le type d’AVS AVS individuel ou mutualisĂ©, et le temps d’AVS accordĂ© pour les AVS individuels. Il revient alors au rectorat d’affecter un AVS Ă  l’enfant. Attention, cela prend Ă©galement du temps ! Les AVS sont souvent affectĂ©s Ă  la derniĂšre minute, juste avant la rentrĂ©e de septembre. Nous invitons les parents Ă  contacter la cellule AVS de leur acadĂ©mie une semaine environ avant la rentrĂ©e afin de s’assurer qu’un AVS a bien Ă©tĂ© affectĂ© Ă  l’enfant. En cas de problĂšme AVS non affectĂ©, ou temps attribuĂ© insuffisant voir Recours. Lisez nos conseils pour obtenir une dĂ©cision favorable en Ă©vitant un recours.
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Sont toutefois dispensĂ©es de diplĂŽme les personnes qui justifient d'une expĂ©rience professionnelle de deux annĂ©es dans le domaine de "l'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap" ou de "l'accompagnement des Ă©tudiants en situation de handicap". Un arrĂȘtĂ©, publiĂ© le mĂȘme jour, fixe leur rĂ©munĂ©ration au minimum au Smic entre le Smic et l'indice brut 400 exactement. Un second arrĂȘtĂ© fixe les conditions de leur promotion et de formation, Ă  la suite d'un entretien professionnel passĂ© avec l'inspecteur de l'Education nationale ou le chef d'Ă©tablissement. "DĂšs la rentrĂ©e 2014, les assistants d'Ă©ducation qui occupent la fonction d'auxiliaire de vie scolaire AVS verront progressivement leur emploi transformĂ© en contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e", avait annoncĂ© l'Ă©tĂ© dernier Jean-Marc Ayrault alors Premier ministre voir notre article Auxiliaires de vie scolaire CDI "Ă  terme", et aprĂšs ? du 27 aoĂ»t 2013, reprenant une promesse de François Hollande faite durant la campagne Ă©lectorale de 2012. Il Ă©tait temps que les textes sortent car nombre d'AVS, recrutĂ©s Ă  partir de 2006 - en application de la loi Handicap du 11 fĂ©vrier 2005 - voyaient leur contrat de six ans arriver Ă  expiration. LĂ©cole est un DROIT, l’AVS un amĂ©nagement, une aide, une compensation au handicap. En aucun cas la prĂ©sence de l’AVS ne peut ĂȘtre une condition pour scolariser l’enfant. Quand l’AESH attribuĂ© par la MDPH est absent, les parents ont-ils des voies de recours ? L’élĂšve doit ĂȘtre accueilli en classe mĂȘme en l’absence de l’AESH Pour l’Education nationale, la prĂ©sence de l’AESH n’est pas une condition de la scolarisation. L’élĂšve doit ĂȘtre accueilli en classe mĂȘme en l’absence de l’AESH, Ă  moins qu’une disposition diffĂ©rente n’ait Ă©tĂ© prĂ©vue dans son PPS. En aucun cas un directeur d’école ne peut dĂ©cider seul de refuser un Ă©lĂšve ou d’imposer un temps partiel. NĂ©anmoins, si la MDPH a attribuĂ© un AESH, c’est bien parce que cet accompagnement correspond Ă  un besoin de l’élĂšve, et son absence constitue un prĂ©judice, pour lui et pour sa famille. Pourquoi le nombre des accompagnements non assurĂ©s augmente-t-il ? Plusieurs situations d’absences de l’AESH peuvent se prĂ©senter. Il arrive que dans quelques dĂ©partements, notamment en Ile de France, des postes d’AESH ne soient pas pourvus par manque de candidats. Mais dans la plupart des cas, si le poste d’AESH reste vacant, c’est parce que l’Inspecteur d’AcadĂ©mie a Ă©puisĂ© le potentiel dont il dispose. Il n’a plus les moyens d’assurer le remplacement d’un AESH absent pour cause de maladie ni d’embaucher un AESH pour un nouvel accompagnement notifiĂ© par la MDPH La situation s’est aggravĂ©e depuis quelques annĂ©es du fait que le nombre des accompagnement notifiĂ©s par la MDPH croit plus rapidement que le nombre des postes AESH correspondant. De 2015 Ă  2019, on est passĂ© de 122 000 Ă©lĂšves accompagnĂ©s Ă  186 000 + 50 %, alors que dans le mĂȘme temps le nombre des postes d’AESH passait de 86 000 Ă  106 000 + 24 %. D’oĂč un nombre croissant d’accompagnements non assurĂ©s ou de temps d’accompagnement rĂ©duits. La gestion dĂ©partementale des AESH le coordonnateur dĂ©partemental et les PIAL L’Inspecteur d’AcadĂ©mie gĂšre les AESH de son dĂ©partement, sur dĂ©lĂ©gation rectorale. Il a en charge leur affectation aprĂšs que la CDAPH a notifiĂ© leur attribution. C’est donc Ă  ses services que l’on doit s’adresser pour toute question en rapport avec l’affectation des AESH. Deux dispositifs sont concernĂ©s celui du coordonnateur dĂ©partemental et les PIAL PĂŽles Inclusifs d’Accompagnement LocalisĂ© Un coordonnateur dĂ©partemental organise et coordonne le travail des AESH Dans chaque dĂ©partement, l’Inspecteur d’acadĂ©mie dĂ©signe un responsable chargĂ© de coordonner le dispositif d’accompagnement des Ă©lĂšves en situation de handicap. Ce coordonnateur, placĂ© sous la responsabilitĂ© de l’IEN ASH, est chargĂ© de l’affectation des AESH et de la planification de leurs emplois du temps. Concernant les AESH, il est l’interlocuteur privilĂ©giĂ© des directeurs d’école, des chefs d’établissement et bien sĂ»r des AESH eux-mĂȘmes. Certains grands dĂ©partements peuvent avoir plusieurs coordonnateurs. Le coordonnateur a notamment la charge d’assurer le suivi du dispositif. C’est dire qu’il doit rĂ©pondre aux situations difficiles qui se produisent en cas d’absence de l’AESH. Mais ses moyens sont limitĂ©s, il rare qu’il dispose d’un potentiel suffisant de remplaçants ! Les PIAL, une nouvelle organisation du travail Depuis 2019, toutefois, l’apparition des PIAL a modifiĂ© la donne. Le PIAL est une nouvelle forme d’organisation locale des interventions des AESH sur un secteur donnĂ©. Le secteur d’un PIAL peut correspondre aux secteurs d’un, ou plusieurs collĂšges. Le PIAL est placĂ© sous la responsabilitĂ© d’un pilote du PIAL, qui peut ĂȘtre le Principal d’un collĂšge. Les PIAL sont appelĂ©s Ă  couvrir l’ensemble du territoire Ă  la rentrĂ©e 2021. Les PIAL sont confiĂ©s Ă  des acteurs du terrain. Ils devraient permettre de coordonner les interventions des AESH en collant aux besoins et aux emplois du temps des Ă©lĂšves concernĂ©s. C’est pour cela qu’ils ont Ă©tĂ© créés. C’est le pilote du PIAL qui arrĂȘte les emplois du temps des AESH et qui dĂ©termine la quotitĂ© horaire de leurs interventions auprĂšs de chacun des Ă©lĂšves. Les AESH mutualisĂ©s rentrent tout Ă  fait dans ce cadre. Le fonctionnement des AESH individuels, par contre, pose des problĂšmes aux PIAL, puisque c’est en principe la MDPH qui fixe la quotitĂ© horaire d’accompagnement attribuĂ©e Ă  chaque Ă©lĂšve. C’est une contrainte dont l’Education nationale souhaite se libĂ©rer. Elle fait pression sur les MDPH pour obtenir que tous les AESH soient mutualisĂ©s et de toute façon le PIAL ne rĂ©partit les AESH qu’en fonction des moyens dont il dispose. On y gagne ainsi en souplesse. Et en cas d’absence ponctuelle d’un accompagnant, cette souplesse d’organisation du PIAL peut permettre un remplacement de l’absent par une rĂ©organisation temporaire du service des autre AESH. Il faut reconnaĂźtre toutefois que cela revient Ă  dĂ©shabiller Pierre pour habiller Paul et que parfois aussi sous prĂ©texte de souplesse, on assiste Ă  une valse des AESH. Dont les AESH et les parents se plaignent. Mais que se passe-t-il donc cette annĂ©e avec la mise en oeuvre catastrophique des PIAL ! Mon fils a perdu 3h d’AESH le 15 mars et n’a plus d’AESH 3 matinĂ©es par semaines / 4
 L’enseignant fait ce qu’il peut.. mais l’école a perdu 9 matinĂ©es d’AESH au profit d’une autre Ă©cole. Les heures mutualisĂ©es sont dĂ©sormais plafonnĂ©es Ă  maxi 5h par semaine 3,7h en moyenne Ă  Lyon quels que soient les besoins de l’enfant
 Les impacts psychologiques sur les enfants sont dramatiques.. mais l’AcadĂ©mie respecte son budget ! 2 avril 2021 Connaissant ce fonctionnement, que faire ? Quelles sont les voies de recours pour les familles ? La connaissance du fonctionnement du dispositif permet de situer les voies de recours pour les familles, lors de l’absence de l’AESH. Il peut ĂȘtre utile d’ĂȘtre appuyĂ© par une association. Contacter le coordonnateur dĂ©partemental des AESH et Ă©ventuellement le pilote du PIAL En cas d’absence de l’AESH, les parents et le directeur de l’école peuvent interroger le coordonnateur dĂ©partemental des AESH et le pilote du PIAL, si l’école est dans un PIAL, afin de savoir au moins comment se prĂ©sente la situation. Ces services devraient ĂȘtre en mesure de renseigner la famille sur le dĂ©lai d’attente pour la venue d’un AESH et sur les mesures prises durant cette attente. On trouve gĂ©nĂ©ralement les coordonnĂ©es du coordonnateur dĂ©partemental et des PIAL sur le site de l’IEN-ASH du dĂ©partement. On peut aussi les demander Ă  la cellule dĂ©partementale d’écoute des familles – 0 805 805 110. Faire appel Ă  l’Inspecteur d’AcadĂ©mie DASEN et au Recteur On peut Ă©ventuellement demander Ă  l’Inspecteur d’AcadĂ©mie de rĂ©examiner la situation. On peut aussi faire appel au Recteur, qui gĂšre les moyens au niveau de l’acadĂ©mie, et qui dispose peut-ĂȘtre d’une petite marge de manƓuvre. La cellule nationale d’écoute des familles On peut Ă  tout hasard demander conseil Ă  la cellule nationale d’écoute et d’aide aux familles 0 10 55 55 00 – aidehandicapecole Le dĂ©fenseur des enfants Le DĂ©fenseur des Droits intervient souvent se maniĂšre efficace et rapide pour dĂ©fendre les familles. Et il est arrivĂ© que des familles qui avaient fait appel Ă  la DĂ©fenseure des enfants aient obtenu qu’une AESH soit envoyĂ©e rapidement dans l’école. La dĂ©fenseure avait Ă©tĂ© contactĂ©e par mĂ©l, sur son site. NĂ©anmoins, s’il peut dĂ©noncer le manque d’accompagnants sur un secteur, le DĂ©fenseur hĂ©sitera le plus souvent Ă  intervenir dans les situations individuelles, de peur que l’AESH qui serait attribuĂ© Ă  l’enfant ne le soit au dĂ©triment d’un autre enfant. Pour la procĂ©dure, voir le dĂ©fenseur des enfants Le tribunal administratif Les parents ont aussi la possibilitĂ© d’exercer un recours contentieux en saisissant le Tribunal administratif, afin de faire reconnaĂźtre la responsabilitĂ© de l’Etat et d’obtenir la rĂ©paration du prĂ©judice subi par eux-mĂȘmes et par leur enfant. Le tribunal administratif est une juridiction distincte des tribunaux judiciaires. Il est chargĂ© de rĂ©soudre les conflits mettant en cause un acte ou une dĂ©cision de l’administration. Le recours doit ĂȘtre formulĂ© dans un dĂ©lai de deux mois Ă  compter de la date de rĂ©ception de la notification. Une nouvelle jurisprudence vient de confirmer que l’on peut saisir le tribunal administratif d’un rĂ©fĂ©rĂ©-libertĂ© pour un Ă©lĂšve handicapĂ© dĂšs l’ñge de 3 ans, lorsqu’il n’a pas son AESH malgrĂ© une notification de la MDPH. Cette procĂ©dure permet une audience et rĂ©ponse du juge en 48 heures. Adresser la requĂȘte au tribunal administratif. L’assistance d’un avocat n’est pas obligatoire. Des ordonnances favorables aux familles ont Ă©tĂ© rendues. Voir par exemple Tribunal administratif de Nice – Ordonnance du 15 novembre 2019 ou Tribunal administratif de Marseille – Ordonnance de janvier 2021 Mais dans les deux cas, il s’agissait d’un enfant pour lequel le tribunal a reconnu qu’il ne pouvait pas ĂȘtre scolarisĂ© en l’absence de l’AESH. La dĂ©cision est donc liĂ©e Ă  la non-scolarisation de l’enfant plutĂŽt qu’à l’absence de l’AESH comme telle. _____________ Cet article se retrouve assez largement dans le site Ecole et Handicap » Gestion et absences des AESH Le mĂȘme sujet est traitĂ© plus complĂštement dans le site IntĂ©gration scolaire et Partenariat » Gestion dĂ©partementale et absences des AESH Nombre de vues 19 628 Impassepour la famille de Yony. Cet Ă©lĂšve dys doit faire sa rentrĂ©e en CM1 mais la MDPH 62 lui refuse une AVS alors que l'Ă©cole et 2 mĂ©decins attestent de ses troubles. Ce sont donc 5 parents qui se relayeront sur les bancs de l'Ă©cole. 29 aoĂ»t 2017 ‱ Cette annĂ©e, certains instits seront inspectĂ©s. Bah oui, faut bien que les inspecteurs inspectent, sinon Ă  quoi ils serviraient, hein, je vous le demande ? Alors quelques-uns vont se ronger les ongles, se choper un ulcĂšre et refaire mentalement toute l'histoire de leur carriĂšre jusque tard dans la nuit, en maudisant le jour oĂč ils ont dĂ©cidĂ© d'enseigner. Vous pouvez arrĂȘter tout de suite. De toute façon, l'inspecteur aura un truc Ă  noter. Il ne vous mettra pas de petit bonhomme souriant, ni de 20/20. Y'aura forcĂ©ment un truc qui cloche, qui n'est pas comme on a dit dans le programme que fallait Ă©couter mince, Ă  ta derniĂšre rĂ©union pĂ©datruc ! Et mĂȘme qu'il vous donnera des conseils. Ceux que vous avez testĂ©s durant votre premiĂšre annĂ©e et qui n'ont fonctionnĂ© qu'avec 8% des zĂ©lĂšves. LĂ , j'abuse, y'en avait deux au fond de la classe qui suivaient un peu, de temps en temps. Alors faites comme d'habitude, en fonction des nains que vous aurez dans votre classe et de ce qui fonctionne avec eux. De toute façon, ça se saurait si l'inspecteur allait vous faire gagner 6 points d'un coup ou une mĂ©ga prime. Un peu d'indulgence avec vous-mĂȘme et d'objectivitĂ©, c'est tout ce qu'il faut pour vous rendre compte que vous le faites bien, votre boulot. Pas besoin d'un inspecteur, pour ça. Je vous raconte comment j'ai assistĂ© Ă  une inspection, ça vous donnera une idĂ©e du dĂ©calage entre le regard de l'inspecteur et celui des gens qui bossent avec vous chaque jour. Je travaillais comme avs, dans une classe de prĂ©-Ă©lĂ©mentaire. J'avais un Ă©lĂšve autiste Ă  gĂ©rer. Un Ă©lĂšve qui ne parlait pas, refusait de toucher tout ce qui pouvait ressembler Ă  de la colle ou de la peinture, ne restait assis que 3 secondes et jamais Ă  cĂŽtĂ© des autres. En maternelle, ne pas ĂȘtre assis Ă  cĂŽtĂ© des autres, c'est impossible. C'Ă©tait ma premiĂšre annĂ©e et c'Ă©tait aussi la premiĂšre fois que cette instit avait un enfant handicapĂ© dans sa classe. Elle ne connaissait rien de l'autisme, et j'en connaissais seulement ce que j'avais vu chez les adultes quelques annĂ©es auparavant. Donc rien d'utile pour le quotidien en classe. Il y avait 27 nains, des PS et des MS, en comptant mon Ă©lĂšve qui Ă©tait scolarisĂ© Ă  temps partiel. Mais je n'Ă©tais pas lĂ  tout le temps. L'avs n'est jamais lĂ  tout le temps. Alors, l'instit et l'atsem devaient gĂ©rer le gamin, en plus des autres, en mon absence. Autant pour un Ă©lĂšve dys, ça va, l'instit peut essayer d'amĂ©nager son emploi du temps en fonction des heures de prĂ©sence de l'avs. Mais pour un Ă©lĂšve comme celui-ci, c'Ă©tait diffĂ©rent. Cet Ă©lĂšve demandait une attention constante. Il refusait les activitĂ©s mais essayait, en plus, de se sauver. Il pouvait Ă©galement passer un temps fou Ă  tourner autour des tables en faisant du bruit avec sa gorge ou s'allonger sur le sol, en plein milieu de la classe et tapant avec ses pieds. Parfois, il s'allongeait sur une table aussi et se mettait Ă  hurler dĂšs qu'on lui demandait de descendre. Les autres Ă©lĂšves Ă©taient Ă  la fois fascinĂ©s et amusĂ©s par cet enfant qui ne leur ressemblait pas et ne se comportait pas comme eux. Parfois, ils Ă©taient aussi jaloux parce que l'instit se fĂąchait s'ils faisaient comme lui. Et d'autres fois, ils Ă©taient un peu effrayĂ©s quand cet Ă©lĂšve piquait une colĂšre parce que l'un d'eux l'avait touchĂ©. Au moment du rassemblement, le matin, c'Ă©tait trĂšs difficile, pour l'instit, de maintenir l'attention des Ă©lĂšves, alors que ce petit bonhomme tournait en rond, faisait du bruit et s'agitait dans leur dos. Progressivement, on a rĂ©ussi Ă  mettre des choses en place, pour qu'il reste calme dans ces moments-lĂ . Je m'asseyais,par exemple, un peu Ă  l'Ă©cart, sur une chaise, et je lui demandais de s'asseoir sur mes genoux. Petit Ă  petit, il a fini par accepter d'ĂȘtre assis seul, sur la chaise, et je restais Ă  ses cĂŽtĂ©s. Il n'Ă©tait pas vraiment avec les autres, sur les bancs, mais c'Ă©tait dĂ©jĂ  un progrĂšs et ça permettait de ne plus dissiper les autres. Seulement, quand je n'Ă©tais pas lĂ , l'instit avait un mal fou Ă  le faire asseoir et il se relevait toutes les 5 minutes. Tout Ă©tait comme ça, tout le temps, et elle m'avouait parfois dĂ©pitĂ©e qu'elle l'avait laissĂ© errer dans la classe. Elle avait tous les autres et l'atsem ne pouvait pas non plus se focaliser sur un seul Ă©lĂšve. C'est dans cette classe que j'ai eu l'expĂ©rience curieuse d'assister Ă  une inspection. Je n'avais aucune idĂ©e de la façon dont se passait une inspection et je m'Ă©tonnais de voir cette instit si stressĂ©e. Elle qui d'habitude Ă©tait si sereine se transformait en boule de nerfs et se mettait Ă  douter de tout. Bien sĂ»r, notre Ă©lĂšve diffĂ©rent n'arrangeait rien. Elle avait trĂšs peur que quelque chose tourne mal ce jour-lĂ . Elle savait qu'elle serait inspectĂ©e cette annĂ©e-lĂ , mais elle a commencĂ© Ă  s'inquiĂ©ter vraiment, le jour oĂč la date est tombĂ©e. C'Ă©tait comme passer le bac. Les profs vous le disent dĂšs le premier jour de terminale, mais la plupart des Ă©lĂšves se secouent en mai, quand on leur parle de rĂ©visions, quand ça devient vraiment concrĂȘt. LĂ , c'Ă©tait un peu ça. Elle doutait de ses affichages, n'Ă©tait plus trĂšs sĂ»re de ses rituels du matin, ne savait plus bien si c'Ă©tait une bonne idĂ©e de donner du travail de ms Ă  cette petite ps qui Ă©tait en avance. Ses fiches plastifiĂ©es ont Ă©tĂ© refaites. Enfin bref, j'avais l'impression que la reine d'Angleterre allait dĂ©barquer dans la classe. Pourtant, il suffisait de regarder ses Ă©lĂšves pour se rendre compte qu'elle faisait bien son job. La petite timide qui ne dĂ©crochait pas un mot en dĂ©but d'annĂ©e et pleurait dĂšs qu'un adulte lui adressait la parole, levait dĂ©sormais le doigt quand l'instit demandait "Qui veut compter les Ă©lĂšves prĂ©sents ?". Le petit bolide savait s'asseoir et participer Ă  une activitĂ© sans dĂ©truire le dessin du copain ou pulvĂ©riser la tour de lĂ©gos. Et on Ă©tait mĂȘme arrivĂ© au moment bĂ©ni oĂč les nains ne hurlent plus quand leurs parents quittent l'Ă©cole. La premiĂšre fois qu'il n'y a pas une seule larme, ça fait bizarre d'ailleurs. En gĂ©nĂ©ral, il suffit qu'un gamin se mette Ă  pleurer pour que les autres se souviennent que leurs parents sont aussi partis. Sont solidaires dans les larmes, les nains. Le jour de l'inspection est arrivĂ©, le monsieur s'est prĂ©sentĂ© et s'est assis. Rhooo, le joli sourire forcĂ© de la maitresse pas Ă  l'aise. Avec l'atsem, on lui a fait un signe avec les pouces en l'air, derriĂšre le dos du monsieur, pour l'encourager. L'atsem ne faisait pas non plus la fiĂšre. Elle avait tout vĂ©rifiĂ© dix fois, le matin. Elle avait peur de faire du tort Ă  la maitresse, si une activitĂ© ne se passait pas comme prĂ©vue. D'un coup, je n'avais plus l'impression qu'on allait recevoir la reine d'Angleterre, mais plutot le bourreau du village. De mon cĂŽtĂ©, je gĂ©rais mon Ă©lĂšve. On avait discutĂ© un peu de ce que je devais faire. J'avais proposĂ© de m'isoler avec mon Ă©lĂšve, comme je le faisais parfois quand il Ă©tait trop agitĂ© ou angoissĂ©, mais l'instit m'avait dit de faire "comme d'habitude", soit essayer de l'intĂ©grer quand c'Ă©tait possible et proposer autre chose le reste du temps, ou mĂȘme simplement le laisser vaquer un peu quand il en avait besoin. MalgrĂ© ce que nous disait l'hĂŽpital de jour, il n'Ă©tait pas possible de le stimuler tout le temps. Avec eux, il Ă©tait intĂ©grĂ© Ă  un petit groupe d'enfants autistes. Avec nous, il Ă©tait en permanence envahi par le bruit et l'agitation des autres, ce qui le fatiguait et le stressait d'avantage.. Les Ă©lĂšves se sont comportĂ©s comme ils le faisaient chaque jour. Ils se sont regroupĂ©s, ont rĂ©pondu "prĂ©sent", comptĂ©, chantĂ©, puis se sont Ă©parpillĂ©s pour les activitĂ©s en fonction des consignes de l'instit. C'Ă©tait un jour ordinaire, Ă  la diffĂ©rence qu'il y avait un adulte de plus dans la classe, que les Ă©lĂšves regardaient un peu de travers parce qu'il ne leur parlait pas. Et puis, il faut bien le dire, un monsieur qui vient voir comment travaille la maicresse, c'est curieux. Et puis, quand ils le regardaient, le monsieur Ă©tait souvent tournĂ© pour regarder mon Ă©lĂšve, alors les gamins suivaient sont regard et n'Ă©taient plus trop attentifs Ă  l'activitĂ©. Ils se faisaient reprendre, un peu, par la maitresse. Mais, dans l'ensemble, les gamins Ă©taient fidĂšles Ă  eux-mĂȘmes, soit des nains de 3 et 4 ans, en moyenne, pas toujours rĂ©ceptifs, pas toujours motivĂ©s et pas forcĂ©ment toujours parfaits mais fonctionnant comme on leur a appris, avec un minimum de discipline et le respect des rĂšgles de la classe. Comme dans toutes les classes, quoi ! Au moment de la rĂ©crĂ©, les Ă©lĂšves sont sortis avec l'atsem. L'inspecteur est venu me demander quelques renseignements sur mon Ă©lĂšve. Puis, je l'ai laissĂ© avec l'instit pour le dĂ©briefing. En gros, l'inspecteur dit ce qu'il a vu ou pas, ce qui cloche ou pas et l'instit est notĂ©. Au bout d'un moment, l'inspecteur est venu nous dire "au revoir", on a discutĂ© trois minutes du boulot d'avs et il est parti. Quand je suis rentrĂ©e dans la classe, elle avait une petite mine l'instit. La mine de celle qui n'a pas eu la note attendue. L'inspecteur venait de lui dire qu'elle ne s'investissait pas assez auprĂšs de mon Ă©lĂšve. C'Ă©tait assez hallucinant. J'Ă©tais lĂ , c'Ă©tait mon job de m'occuper de cet Ă©lĂšve. Et puis, il n'avait Ă©tĂ© prĂ©sent que sur des moments oĂč l'instit faisait le regroupement, ou mettait en place les activitĂ©s. Donc des moments oĂč elle avait 26 gamins Ă  faire bosser. Ce ne sont pas des moments oĂč on peut consacrer du temps Ă  un seul Ă©lĂšve. Il avait tout repĂ©rĂ©. Comment, je mettais en place les adaptations pour qu'il ne soit pas totalement exclu des rituels du matin. Comment, je faisais la transition, ensuite, pour l'amener vers la table oĂč il Ă©tait censĂ© faire une activitĂ© qu'il ne faisait quasi jamais. Et mĂȘme comment je gĂ©rais le refus, et l'amenais vers un jeu ou vers la bibliothĂšque pour dĂ©samorcer quand il s'agitait. Le type avait focalisĂ© sur mon Ă©lĂšve et reprochait Ă  l'instit de ne pas avoir Ă©tĂ© assez prĂ©sente. Sauf que, encore une fois, c'Ă©tait MON job. Et tous ces amĂ©nagements, on les avait mis en place ensemble. Pour les autres Ă©lĂšves, il n'avait vu que le gamin qui n'Ă©coute pas, celui qui baille aux corneille, mais trĂšs peu ceux qui avaient fait les choses correctement. Et pas une seule seconde, il ne lui est venu Ă  l'esprit que sa prĂ©sence avait aussi pas mal dĂ©concentrĂ© nos petits Ă©lĂšves. Ou si ça lui est venu Ă  l'esprit, il s'est bien gardĂ© de le dire. J'Ă©tais passablement fĂąchĂ©e d'entendre l'instit me rĂ©pĂ©ter les propos de l'inspecteur. Ce type lĂ  venait pour la premiĂšre fois dans cette classe. Il ne connaissait absolument pas l'instit, ne l'avait jamais vue travailler et n'avait aucune idĂ©e du fonctionnement des gamins. Il dĂ©barquait, comme un cheveux sur la soupe, prenait un instant T et en tirait des conclusions. hallucinant ! Il ne la voyait pas s'occuper de mon Ă©lĂšve, en plus des autres, les jours oĂč je n'Ă©tais pas lĂ . Il ne l'entendait pas se poser mille questions, rencontrer le psy, aller Ă  l'hĂŽpital de jour, un mercredi, pour voir comment se comportait cet Ă©lĂšve en petit groupe. Il ne l'avait pas vue, lors de la sortie au cinĂ©, me jeter des regards inquiets quant au comportement de ce gamin c'Ă©tait la premiĂšre sortie, on redoutait un peu ses rĂ©actions. Il ne l'avait pas vue, non plus, consoler la mĂšre, un jour d'Ă©quipe Ă©ducative, parce qu'on avait suggĂ©rĂ© de faire un dossier clis. Il avait juste vu un dĂ©but de matinĂ©e et en avait conclu qu'elle ne soccupait pas assez de cet Ă©lĂšve. Bah non, elle avait juste passĂ© son temps Ă  s'occuper de 26 gamins ! Il est tout simplement passĂ© Ă  cĂŽtĂ© de tout le reste. J'ai appris, plus tard, qu'il avait lui-mĂȘme un enfant handicapĂ©. C'est sans doute ce qui explique qu'il ait focalisĂ© sur mon Ă©lĂšve ce jour-lĂ . Mais j'en ai, moi aussi, tirĂ© une conclusion. Un inspecteur ne sera jamais capable de faire un compte rendu objectif du boulot d'un/une instit. Il ne voit qu'un court instant, en y mettant ses propres idĂ©es, son vĂ©cu, son ressenti. C'est humain, bien sĂ»r. Mais c'est sur ces inspections que sera Ă©valuĂ© le boulot d'un enseignant. C'est ce qui dĂ©termine sa note et donc sa progression dans la grille. C'est comme si on attribuait le prix du meilleur boulanger en goutant une miette de pain. Et puis surtout, un inspecteur ne connait pas les Ă©lĂšves. Chaque classe est diffĂ©rente. L'instit compose en fonction du groupe prĂ©sent, des avancĂ©es de chacun, de ceux qu'il faut tirer vers le haut ou accompagner. Il y a des jours avec et des jours sans, parce que ce sont de petits ĂȘtres humains, pas toujours disponibles. Mais ça, l'inspecteur, il s'en fiche. L'humain, c'est pas dans sa grille, ça rentre pas dans les cases. Pour peu qu'il vienne un jour oĂč le petit Marcel a dĂ©cidĂ© qu'il n'Ă©tait pas d'accord pour compter, c'est fichu. L'instit s'entendra dire que sa sĂ©quence n'Ă©tait pas au point ou qu'elle n'avait pas envisagĂ© de stratĂ©gie pour "accrocher" Marcel. Mais il ne se dira pas que, d'habitude, le petit Marcel, il compte jusqu'Ă  65 sans se tromper, en MS, parce qu'il ne le sait pas, l'inspecteur. Alors, quand vous serez inspectĂ©s cette annĂ©e, relativisez. Dites-vous qu'il n'est question que d'un seul instant dans votre longue carriĂšre, sur ce compte-rendu. Les seuls qui peuvent vraiment vous donner une idĂ©e de votre travail, ce sont les nains que vous avez eu les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Ils vont bien et vous leur avez transmis ce dont ils avaient besoin ? Alors, c'est bon, vous ĂȘtes un bon instit. Bien sĂ»r, ça ne fait pas augmenter votre salaire de le savoir, mais ça aide Ă  remettre les choses Ă  leur place quand un inspecteur passe Ă  cĂŽtĂ© de votre boulot. Bonjourje vous conseillerai de demander Ă  l'agefiph de donner a votre une AVS (assistante de vie scolaire) comme sa il pourra continuer de suivre un cursus normal avec en plus un soutient pour l'aider a combler ses difficultĂ©s. Passer au contenu Textes adaptĂ©s Tapuscrits adaptĂ©sLivres adaptĂ©sChoisir un livre adaptĂ©Carte interactive oĂč trouver des livres adaptĂ©s pour les enfants dyslexiques et les lecteurs en panne » ?Projet dys sur dys »Dossiers Aider les Ă©lĂšves en difficultĂ© avec le codeAider les Ă©lĂšves en difficultĂ© avec la numĂ©rationAider les Ă©lĂšves en difficultĂ© avec la comprĂ©hension / le langageAide humaine – Travailler avec AESH/AVSDomaines LittĂ©ratureProduction d’écritsNumĂ©rationAutres ressources Livres et manuelsMatĂ©riel adaptĂ©Ressources numĂ©riquesPPRE / PAP / PPS / PAI Quid de l’aide humaine Moi, j’aime pas les demandes d’AVS » C’est un fait, dans les Ă©coles, il y a de plus en plus de demandes d’AVS » et moi, *mode schtroumpf grognon ON* j’aime pas les demandes d’AVS » parce quune demande d’AVS », en fait, ça n’existe pas ! Plus sĂ©rieusement, lorsqu’on parle de demande d’AVS », on nĂ©glige le fait que l’aide humaine est une rĂ©ponse, une compensation aux consĂ©quences d’un handicap qui doit ĂȘtre reconnu par la MDPH Maison DĂ©partementale des Personnes HandicapĂ©es. On ne demande donc pas AVS Auxiliaire de Vie Scolaire – qui d’ailleurs est le plus souvent maintenant AESH Accompagnant des ÉlĂšves en Situation de Handicap – mais une reconnaissance de handicap. Certains diront que c’est un dĂ©tail technique mais en fait non parler de demande d’AVS » peut parfois faire naĂźtre une confusion, masquer le vrai sujet et avoir des consĂ©quences nĂ©gatives pour l’enfant. Et ça, nous sommes tous d’accord pour dire que c’est quelque chose que nous ne voulons absolument pas. Éviter le sujet du handicap, une fausse bonne idĂ©e Parfois, parce que le sujet du handicap peut ĂȘtre dĂ©licat Ă  aborder, on parle de demande d’AVS », pour ne pas poser le sujet sur la table avec la famille, pour ne pas dire Votre enfant doit ĂȘtre reconnu comme Ă©tant en situation de handicap pour prĂ©tendre Ă  une aide humaine . Mais parler de demande d’AVS » plutĂŽt que de parler de handicap, ce n’est pas toujours anodin non plus. C’est parfois refuser de voir la sĂ©vĂ©ritĂ© des difficultĂ©s de l’élĂšve. Du coup, l’aide humaine risque de devenir LA rĂ©ponse aux difficultĂ©s ce qu’elle n’est surtout pas au dĂ©triment d’autres aides et soins. Mais l’aide humaine, c’est un accompagnement complĂ©mentaire aux aides des professionnels enseignants, RASED, orthophonistes, psychomotriciens, psychologues
 qui doivent absolument ĂȘtre mises en Ɠuvre si l’on veut que l’enfant avance. Alors bien sĂ»r, je comprends la dĂ©marche d’évitement stratĂ©gique du mot handicap pour accĂ©der Ă  l’aide humaine et faire en sorte que mĂȘme Ă©lĂšve dont la famille est rĂ©ticente puisse disposer d’une aide humaine, mais je suis farouchement contre. Tout comme on dit, pour convaincre certains parents d’accepter l’orientation en SEGPA Mais il pourra revenir dans l’enseignement gĂ©nĂ©ral aprĂšs une 6e SEGPA » alors que l’expĂ©rience nous montre que c’est une petite minoritĂ© d’élĂšves, je crois donc qu’il ne faut pas tordre la rĂ©alitĂ©. Ok, la rĂ©alitĂ© est complexe et elle complique la dĂ©marche mais prendre le temps d’expliquer cette rĂ©alitĂ© aux familles est une part trĂšs importante du projet d’aide. Il faut donc prendre le temps d’accompagner les familles. On n’envisage pas une aide humaine comme on achĂšte un outil ! D’ailleurs, et j’en profite pour le poser lĂ  replacer l’aide humaine dans son cadre de rĂ©fĂ©rence c’est aussi mieux reconnaĂźtre la professionnalitĂ© des personnes qui en sont chargĂ©es et pour qui j’ai beaucoup de respect. Accompagner les familles La rĂ©alitĂ© peut donc s’expliquer, mĂȘme si c’est parfois compliquĂ©, mĂȘme si parfois on pense qu’il ne faut pas trop s’immiscer dans la vie de la famille, mĂȘme si certaines familles ont beaucoup de mal Ă  entendre/envisager le handicap de leur enfant. Bon, il faut quand mĂȘme se dire qu’en entendant le mot handicap, la plupart des parents font une croix sur la vie idĂ©ale qu’ils avaient imaginĂ©e pour leur enfant. Le mot handicap, Ă  la premiĂšre Ă©coute, barre complĂštement l’avenir, interdit toute rĂ©ussite. Cela peut ĂȘtre trĂšs violent. Dans ces moments, la famille a besoin d’ĂȘtre accompagnĂ©e pour accepter la situation, aller de l’avant de maniĂšre constructive et ne pas abandonner l’ambition de rĂ©ussite pour leur enfant. L’idĂ©e c’est de ne pas laisser la famille subir la situation seule et d’éclairer la mĂȘme rĂ©alitĂ© avec une lumiĂšre plus positive, rĂ©ussir Ă  laisser la vie idĂ©ale mais imaginaire de cĂŽtĂ© sans tomber non plus dans le catastrophisme, bref construire avec la famille un projet de rĂ©ussite scolaire plein d’ambitions ! Quelques Ă©lĂ©ments pour essayer d’éclairer un peu la situation Le handicap et le droit Ă  la compensation Être reconnu en situation de handicap, ce n’est pas forcĂ©ment grave ou dĂ©valorisant. C’est un fait. On ne dispose pas tout Ă  fait des mĂȘmes chances que les autres, et comme c’est injuste, l’État propose une compensation. La loi n°2005-102 pour l’égalitĂ© des droits et des chances, la participation et la citoyennetĂ© des personnes handicapĂ©es a dĂ©fini la notion de handicap Constitue un handicap, au sens de la prĂ©sente loi, toute limitation d’activitĂ© ou restriction de participation Ă  la vie en sociĂ©tĂ© subie dans son environnement par une personne en raison d’une altĂ©ration substantielle, durable ou dĂ©finitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santĂ© invalidant. » Et elle crĂ©e un droit Ă  la compensation la personne handicapĂ©e a droit Ă  la compensation des consĂ©quences de son handicap quels que soient l’origine et la nature de sa dĂ©ficience, son Ăąge ou son mode de vie ». Ce droit Ă  la compensation est individuel. Il doit prendre en compte le projet de vie de la personne en situation de handicap. En consĂ©quence, la Prestation de Compensation du Handicap, créée par la loi pour permettre ce droit Ă  la compensation, peut ĂȘtre versĂ©e en espĂšces pour le paiement des aides humaines par exemple ou en nature pour le financement d’aides techniques, l’amĂ©nagement du logement
 Comment ça se passe vraiment Ă  la MDPH ? – version courte et ultra simplifiĂ©e – la MDPH reçoit les dossiers Ă  l’initiative des familles dont fait partie le GEVA-Sco, soigneusement rempli en Ă©quipe Ă©ducative 😉 Le dossier est Ă©tudiĂ© en EPE Équipe Pluridisciplinaire d’Évaluation avant que la CDAPH Commissions des Droits et de l’Autonomie des Personnes HandicapĂ©es ne valide la reconnaissance de la situation de handicap, les compensations et formalise le PPS Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation, volet scolaire du plan de compensation. Attention, le recrutement des personnes en charge de l’aide humaine AVS/AESH n’est pas du fait de la MDPH. Cette derniĂšre notifie, mais c’est la DSDEN Direction des Services DĂ©partementaux de l’Éducation Nationale qui recrute et qui paie ! C’est donc l’Éducation nationale qui est responsable du manque d’AVS/AESH dans les Ă©coles pour les Ă©lĂšves qui ont reçus une notification MDPH bouuuuh ! Inutile d’enchainer les coups de tĂ©lĂ©phone Ă  la MDPH pour demander quand la personne en charge de l’aide humaine prendra ses fonctions auprĂšs d’un Ă©lĂšve notifiĂ©, tournez-vous plutĂŽt vers votre du PIAL pĂŽle inclusif d’accompagnement localisĂ© duquel dĂ©pend l’école ou vers l’ AVS/AESH » dĂ©partemental. Quelques conseils si vous vous lancez, avec une famille, dans l’aventure du dossier de demande de reconnaissance de handicap → Bien remplir le GEVA-Sco. C’est un document super important, il doit ĂȘtre prĂ©cis et conforme Ă  la rĂ©alitĂ©. Ne minimisez pas les difficultĂ©s, ce n’est pas un document qui sert Ă  encourager l’enfant mais bien Ă  dĂ©crire sa situation. Du coup, n’en rajoutez pas non plus, le document vient complĂ©ter les bilans des diffĂ©rents professionnels pour former un tout cohĂ©rent attention en particulier au sens de la cotation D dans la partie observation des activitĂ©s de l’élĂšve ». La situation n’a pas besoin d’ĂȘtre caricaturĂ©e, les personnes de l’EPE sont sur le terrain, connaissent les enfants et les enseignants. La caricature desservirait le dossier. → Aider et adapter en amont. La volontĂ© qu’un handicap soit reconnu et compensĂ© par une aide humaine doit venir en complĂ©ment des aides de l’école. Je pense qu’on doit vraiment avoir tout essayĂ© en amont pour adapter la classe/l’école aux besoins de l’enfant. On doit lui avoir fait sa place. → Ne pas faire le choix Ă  la place de la famille ou de la MDPH. Si la famille pense Ă  une aide humaine et vous non ou l’inverse, notez les deux avis, c’est la MDPH qui tranchera grĂące aux regards croisĂ©s des professionnels consultĂ©s. Ne pas confondre non plus les besoins de l’élĂšve avec ceux de la classe/de l’ L’aide humaine ne vient pas soulager la classe mais aider l’élĂšve en situation de handicap Ă  progresser. → Se renseigner avant de demander des moyens. L’aide humaine peut-ĂȘtre individuelle ou mutualisĂ©e. Elle est individuelle si l’enfant a besoin Ă  la fois d’une attention soutenue ET continue intensitĂ© constante + impossibilitĂ© de prĂ©voir/programmer les besoins + risque de danger sans aide = impossibilitĂ© d’aider plusieurs enfants Ă  la fois pour l’aidant. Ce sont donc des situations exceptionnelles ! Sinon, l’aide humaine sera mutualisĂ©e, c’est Ă  dire organisĂ©e/rĂ©partie entre plusieurs enfants dans la classe et dans l’école. Mais l’aide humaine n’est pas la seule rĂ©ponse pour accompagner Ă©lĂšve dans sa classe. L’obtention d’un matĂ©riel pĂ©dagogique adaptĂ© peut ĂȘtre vraiment positif pour la progression de l’élĂšve et favoriser, en plus, son autonomie. Donc, avant de demander une aide humaine, il vaut mieux savoir ce qu’elle est et surtout ce qu’elle n’est pas ! Quelques fausses idĂ©es sur l’aide humaine L’aide humaine est souvent envisagĂ©e pour palier Ă  toutes les difficultĂ©s des enfants. Si elle peut ĂȘtre bĂ©nĂ©fique dans certains cas, il faut aussi savoir ce qu’elle n’est pas. 1. AVS/AESH en classe c’est plus d’aide pour l’élĂšve en difficultĂ© trĂšs souvent FAUX . La plupart du temps, l’élĂšve bĂ©nĂ©ficiant d’une aide humaine est moins aidĂ© par son enseignant qu’auparavant. On voit mĂȘme parfois un recul des adaptations ou de la diffĂ©renciation alors que la personne en charge de l’aide humaine peut tout Ă  fait faciliter et amĂ©liorer la mise en Ɠuvre de l’aide de l’enseignant. → quelques pistes concrĂštes dans 5 idĂ©es pour bien travailler avec AVS/AESH 2. L’aide humaine permet de mieux aider l’élĂšve FAUX si l’AVS/AESH est comme ou comme LA solution aux difficultĂ©s mais absolument VRAI si l’accompagnement est rĂ©flĂ©chi, construit, Ă©valuĂ© et rĂ©gulĂ©. → quelques pistes concrĂštes dans 5 idĂ©es pour bien travailler avec AVS/AESH 3. L’aide humaine contribue Ă  dĂ©velopper l’autonomie trĂšs souvent FAUX . C’est malheureusement un effet pervers de l’accompagnement en classe. L’élĂšve prend parfois l’habitude d’avoir un appui et perd en autonomie. Mais ce n’est pas une fatalitĂ© ! Cela peut devenir VRAI si les interventions de la personne en charge de l’aide humaine sont cadrĂ©es en amont, notamment par l’enseignant de la classe. → quelques pistes concrĂštes dans 5 idĂ©es pour bien travailler avec AVS/AESH 4. L’aide humaine soulage la classe et l’enseignant VRAI mais ce n’est pas son rĂŽle ! L’aide humaine doit faire progresser l’élĂšve accompagnĂ©, c’est une compensation Ă  sa situation de handicap, point final. Pour soulager la classe et l’enseignant, il faudra plutĂŽt se tourner vers l’équipe d’école/de circonscription, le RASED ou encore le pĂŽle ressource. 5. Je ne suis pas pour l’aider, il lui faut AVS FAUX D’abord, mĂȘme si le chantier de la formation des aidants est lancĂ©e, la personne en charge de l’aide humaine reste bien moins formĂ©e qu’un enseignant du point de vue de la didactique. En plus, le travail de la personne en charge de l’aide humaine n’est pas d’intervenir directement avec l’élĂšve pour remĂ©dier Ă  ses difficultĂ©s mais d’accompagner la scolarisation/progression de l’élĂšve. Cette progression est guidĂ©e/dĂ©finie par l’enseignant qui est le responsable pĂ©dagogique de l’AVS/AESH. MĂȘme si c’est compliquĂ© parce que chaque cas est diffĂ©rent et qu’il n’existe pas de rĂ©ponse merveilleuse/universelle aux difficultĂ©s, que cela nous dĂ©sĂ©quilibre, interroge notre pratique, c’est vĂ©ritablement le rĂŽle/travail de l’enseignant de la classe de chercher une rĂ©ponse adaptĂ©e aux besoins de l’élĂšve. Il faut au moins essayer avant de baisser les bras. Attention, ce n’est pas parce que c’est de sa responsabilitĂ© que l’enseignant de la classe doit ĂȘtre seul. L’accompagnement des Ă©lĂšves en difficultĂ© est l’affaire de tous au sein de l’école, pas seulement de l’enseignant de la classe. Je le vois au quotidien dans les classes, Ă  force d’essais, de bricolages, de tĂątonnements et avec l’aide et l’engagement de tous, certaines Ă©quipes Ă©paulĂ©es par les enseignants spĂ©cialisĂ©s qui interviennent Ă  l’école et/ou de l’équipe de circonscription font des merveilles. 6. 
 ↓↓ Pour aller plus loin ↓↓ Visited 9 898 times, 80 visits today ABC aider2022-08-05T200047+0200 Partagez ! Articles similaires Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es. Page load link Aller en haut ï»żAumoment de la demande, ils doivent rĂ©diger une saisine. Et ils dĂ©cident jusqu’au bout, c’est-Ă -dire que mĂȘme aprĂšs avoir rĂ©digĂ© la saisine, mĂȘme aprĂšs la notification de la CDAPH, ils peuvent finalement refuser l’AVS. Quand il y a des difficultĂ©s, ce qui fait plus bouger les choses, c’est que les parents fassent remonter les problĂšmes.Parfois, les familles veulent absolument continuer Le Conseil d’Etat avait considĂ©rĂ©, dans un litige concernant la commune de Plabennec dĂ©cision du 20 avril 2011, que c’était Ă  l’Etat de financer l’auxiliaire de vie scolaire nĂ©cessaire Ă  la scolarisation d’un enfant handicapĂ©, y compris en dehors du temps scolaire. La question concernait l’accompagnement nĂ©cessaire Ă  la besoin d’accompagnement en pĂ©ri-scolaire fait l’objet d’une dĂ©cision de la CDAPH. Malheureusement, bien des CDAPH refusent de statuer sur ce point. Il leur appartient pourtant de faire figurer dans le Plan PersonnalisĂ© de Compensation les mesures nĂ©cessaires Ă  compenser le handicap, qu'elles relĂšvent ou non d'une dĂ©cision de la commission. Ce n'est pas non plus Ă  la commission de rentrer dans les considĂ©rations de savoir qui est le financeur des mesures important que l'Ă©quipe de suivi de la scolarisation mentionne explicitement le besoin dans son dĂ©cision du Conseil d’État n'a pas Ă©tĂ© appliquĂ©e partout. Elle est frĂ©quemment ignorĂ©e dans les discussions sur le question est devenue plus cruciale et d’actualitĂ© avec la rĂ©forme des rythmes scolaires, et la crĂ©ation – facultative – des TAP temps d’activitĂ© pĂ©ri-scolaire.Dans un premier temps, l’article du code de l’éducation a Ă©tĂ© créé. Le Conseil Constitutionnel dĂ©cision du 24 avril 2003 a considĂ©rĂ© que cela ne crĂ©ait pas une nouvelle charge pour les communes, dans la mesure oĂč les missions prĂ©vues Ă  l’article n’étaient pas modifiĂ©es. En effet, le transfert de charges Ă  une collectivitĂ© doit ĂȘtre compensĂ©e dans un deuxiĂšme temps, la loi de finances pour 2014 a supprimĂ© dans l’article du code de l’éducation les mots y compris en dehors du temps scolaire », ce qui conduisait Ă  vider de son sens la dĂ©cision du Conseil MinistĂšre de l’Education Nationale a donc donnĂ© des consignes aux Inspections d’AcadĂ©mie, qui prenait en charge le temps d’accompagnement en pĂ©ri-scolaire que ce soit la cantine ou les TAP en application de la dĂ©cision du Conseil d’Etat. DĂ©sormais, sauf pour les contrats en cours, l’Education Nationale demanderait aux communes de payer le temps d’accompagnement reprĂ©sente un obstacle supplĂ©mentaire pour la scolarisation des enfants autistes en effet, les parents sont contraints Ă  un certain nomadisme scolaire pour trouver une Ă©cole – publique ou privĂ©e – qui scolarise avec de la bonne volontĂ© un enfant supporter la charge de l’accompagnement par une commune autre que de celle de rĂ©sidence ne peut qu’engendrer des MinistĂšre a nĂ©gociĂ© avec la CNAF Caisse nationale des allocations familiales le financement de la prise en charge des Ă©lĂšves handicapĂ©s pendant le temps des activitĂ©s pĂ©ri-scolaires. Les communes peuvent obtenir une aide du fonds publics et territoires » circulaire CNAF n° 2015-004. Mais, comme l'a rappelĂ© le tribunal administratif de Rennes dans une dĂ©cision du 30 juin 2016, l’article L. 917-1 dispose que Des accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d’aide Ă  l’inclusion scolaire de ces Ă©lĂšves, y compris en dehors du temps scolaire» . Il en dĂ©duit que cela implique la prise en charge par l’Etat des mesures propres Ă  assurer l’accĂšs de ces enfants aux activitĂ©s pĂ©riscolaires, alors mĂȘme qu’elles ne relĂšveraient pas, en tant que telles, de sa compĂ©tence, dĂšs lors que ces mesures apparaissent comme une composante nĂ©cessaire Ă  la scolarisation de l’enfant et qu’elles sont prĂ©conisĂ©es par la CDAPH .Dans sa circulaire du 3 mai 2017 sur les AVS, le MinistĂšre de l'Education Nationale persiste. Il propose benoĂźtement aux collectivitĂ©s territoriales de se rapprocher de l'Education Nationale pour avoir accĂšs au vivier des AESH ». La plupart des accompagnements Ă©tant le fait de personnes en contrat aidĂ©, le vivier » est dĂ©jĂ  assĂ©chĂ© par cette volontĂ© d'ignorer la de Toupi sur la circulairePS Position de Sophie Cluzel septembre 2014, en tant que prĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration nationale des associations au service des Ă©lĂšves prĂ©sentant un handicap Fnaseph. avant d'ĂȘtre nommĂ©e au gouvernement "car les AVS ou les AESH, employĂ©s par le ministĂšre de l®Éducation nationale, nÂŽont pas pour mission dÂŽaccompagner les enfants aux ateliers théùtre, poterie ou basket. " Extraits du jugement du TA de Rennes – 30 juin 2016ConsidĂ©rant qu’il ressort des piĂšces du dossier que le 23 juillet 2015, la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH d’Ille et-Vilaine a accordĂ© Ă  l’enfant S , scolarisĂ©e depuis le mois de septembre 2015 Ă  l’école Jacques PrĂ©vert de Bruz, une aide individuelle par une auxiliaire de vie scolaire AVS du 1er septembre 2015 au 31 juillet 2016 sur le temps scolaire et pĂ©riscolaire en prĂ©cisant qu’il fallait tenir compte de la fatigabilitĂ© de l’enfant ; qu’en exĂ©cution de cette dĂ©cision, le recteur de l’acadĂ©mie de Rennes a recrutĂ© Mme B. pour assister et accompagner S tout le temps scolaire et pendant les pauses mĂ©ridiennes ; que M. B n’étant pas satisfait des conditions de prise en charge de sa fille, il a notamment demandĂ© au recteur de l’acadĂ©mie et ce en exĂ©cution de la dĂ©cision de la CDAPH du 23 juillet 2015, que l’auxiliaire de vie scolaire assiste Ă©galement S pendant les temps de garderie, le matin entre 8h et 8h30 et l’aprĂšs-midi entre 16h30 et 18h30, et pendant le temps d’activitĂ©s pĂ©riscolaires, ces derniĂšres Ă©tant regroupĂ©es, Ă  Bruz, le jeudi aprĂšs-midi ; que, le 11 janvier 2016, le directeur acadĂ©mique des services de l’éducation nationale lui a indiquĂ© que les temps d’activitĂ©s pĂ©riscolaires Ă©tant un service public facultatif mis en place par les communes, il incombait Ă  la mairie de Bruz d’organiser la prise en charge de S au cours de ces pĂ©riodes, Ă  l’exception toutefois des pauses mĂ©ridiennes, lesquelles sont financiĂšrement prises en charge par les services de l’éducation nationale, dĂšs lors qu’elles font un lien entre deux pĂ©riodes scolaires ; que la requĂȘte de M. B doit ĂȘtre regardĂ©e comme tendant Ă  titre principal Ă  l’annulation pour excĂšs de pouvoir de cette dĂ©cision ; qu’en effet, si le requĂ©rant semble contester Ă©galement, dans son mĂ©moire introductif d’instance, une dĂ©cision portant refus d’apporter l’aide individualisĂ©e dont [sa] fille a besoin durant la rĂ©crĂ©ation », l’existence d’une telle dĂ©cision, contredite par l’administration en dĂ©fense, n’est pas dĂ©montrĂ©e par le requĂ©rant ni ne ressort des piĂšces du dossier, et M. B , qui ne formule d’ailleurs dans ses Ă©critures ultĂ©rieures aucune demande expresse d’annulation d’une telle dĂ©cision, a abandonnĂ© dans son mĂ©moire enregistrĂ© le 14 avril 2016 ses conclusions tendant Ă  ce qu’il soit enjoint Ă  l’administration d’assurer que S soit aidĂ©e en cour de rĂ©crĂ©ation ; Sur les conclusions Ă  fin d’annulation Sans qu’il soit besoin d’examiner les autres moyens de la requĂȘte 2. ConsidĂ©rant qu’aux termes de l’article L. 112-1 du code de l’éducation Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent 
, le service public de l’éducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supĂ©rieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes prĂ©sentant un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant. Dans ses domaines de compĂ©tence, l’Etat met en place les moyens financiers et humains nĂ©cessaires Ă  la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes handicapĂ©s 
 » ; qu’aux termes de l’article L. 351-3 du mĂȘme code Lorsque la commission mentionnĂ©e Ă  l’article L. 146-9 du code de l’action sociale et des familles constate qu’un enfant peut ĂȘtre scolarisĂ© dans une classe de l’enseignement public ou d’un Ă©tablissement visĂ© au 3° de l’article L. 351-1 du prĂ©sent code Ă  condition de bĂ©nĂ©ficier d’une aide individuelle dont elle dĂ©termine la quotitĂ© horaire, cette aide peut ĂȘtre apportĂ©e par un accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap recrutĂ© conformĂ©ment aux modalitĂ©s dĂ©finies Ă  l’article L. 917-1. 
 » ; que l’article L. 917-1 dispose que Des accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d’aide Ă  l’inclusion scolaire de ces Ă©lĂšves, y compris en dehors du temps scolaire. Ils sont recrutĂ©s par l'Etat, par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV de la deuxiĂšme partie ou par les Ă©tablissements mentionnĂ©s Ă  l'article L. 442-1. Lorsqu'ils sont recrutĂ©s par ces Ă©tablissements, leur recrutement intervient aprĂšs accord du directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale. » ; 3. ConsidĂ©rant qu’il rĂ©sulte des dispositions prĂ©citĂ©es des articles L. 351-3 et L. 917-1 du code de l’éducation que les missions des assistants d’éducation affectĂ©s Ă  l’accueil et Ă  l’intĂ©gration scolaires des enfants handicapĂ©s s’étendent au-delĂ  du seul temps scolaire ; 4. ConsidĂ©rant qu’il incombe Ă  l’Etat, au titre de sa mission d’organisation gĂ©nĂ©rale du service public de l’éducation, de prendre l’ensemble des mesures et de mettre en Ɠuvre les moyens nĂ©cessaires pour que le droit Ă  l’éducation et l’obligation scolaire aient, pour les enfants handicapĂ©s, un caractĂšre effectif ; que cette obligation implique la prise en charge par l’Etat des mesures propres Ă  assurer l’accĂšs de ces enfants aux activitĂ©s pĂ©riscolaires, alors mĂȘme qu’elles ne relĂšveraient pas, en tant que telles, de sa compĂ©tence, dĂšs lors que ces mesures apparaissent comme une composante nĂ©cessaire Ă  la scolarisation de l’enfant et qu’elles sont prĂ©conisĂ©es par la CDAPH ; que le requĂ©rant est, par suite, fondĂ© Ă  soutenir que l’autoritĂ© administrative a commis une erreur de droit en considĂ©rant que la compĂ©tence de la seule commune de Bruz sur la crĂ©ation et l’organisation des activitĂ©s pĂ©riscolaires faisait obstacle Ă  toute prise en charge par l’Etat d’un accompagnant pour l’enfant S afin de permettre Ă  celle-ci de suivre ces activitĂ©s ; que la dĂ©cision litigieuse doit, par suite, ĂȘtre annulĂ©e ; Sur les conclusions Ă  fin d’injonction 5. ConsidĂ©rant qu’aux termes de l’article L. 911-1 du code de justice administrative Lorsque sa dĂ©cision implique nĂ©cessairement qu'une personne morale de droit public ou un organisme de droit privĂ© chargĂ© de la gestion d'un service public prenne une mesure d'exĂ©cution dans un sens dĂ©terminĂ©, la juridiction, saisie de conclusions en ce sens, prescrit, par la mĂȘme dĂ©cision, cette mesure assortie, le cas Ă©chĂ©ant, d'un dĂ©lai d'exĂ©cution » ; 6. ConsidĂ©rant, en premier lieu, que l’annulation, au point 4 du prĂ©sent jugement, de la dĂ©cision litigieuse, pour erreur de droit, si elle implique nĂ©cessairement un nouvel examen de la demande de M. B par l’autoritĂ© compĂ©tente, n’implique pas nĂ©cessairement qu’il soit enjoint Ă  celle-ci, ainsi que le demande le requĂ©rant, d’accorder Ă  sa fille une durĂ©e d’aide individualisĂ©e lui permettant de participer Ă  toutes les activitĂ©s scolaires et pĂ©riscolaires », incluant selon lui les heures de garderie ou d’accueil de loisirs pĂ©riscolaire, ainsi qu’ aux activitĂ©s mentionnĂ©es Ă  l’article L. 212-15 [du code de l’éducation] » ; 7. ConsidĂ©rant, sur ce point, qu’il n’est pas Ă©tabli et qu’il ne ressort pas des piĂšces du dossier que la CDAPH ait entendu prescrire, dans sa dĂ©cision du 23 juillet 2015, une assistance de la jeune S par un accompagnant non seulement durant le temps scolaire proprement dit et durant les activitĂ©s pĂ©riscolaires prĂ©vues Ă  l’article L. 551-1 du code de l’éducation, qui en sont le prolongement, mais aussi durant les heures d’accueil pĂ©riscolaire de loisirs et de halte-garderie ; qu’en tout Ă©tat de cause, l’accueil en halte-garderie, dont l’objet principal est d’assurer la garde d’enfants que leurs parents ne peuvent emmener et reprendre Ă  l’école Ă  l’heure d’ouverture de leur classe et immĂ©diatement aprĂšs la fin des activitĂ©s scolaires, ne peut ĂȘtre regardĂ©e comme une composante nĂ©cessaire Ă  la scolarisation d’un enfant, mĂȘme lorsque celui-ci est handicapĂ© et requiert Ă  ce titre un traitement particulier ; qu’il ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ©, dĂšs lors, que la mise Ă  disposition d’une personne pour accompagner un enfant scolarisĂ© handicapĂ© durant les pĂ©riodes de garderie serait au nombre des moyens nĂ©cessaires pour que le droit Ă  l’éducation et l’obligation scolaire aient, pour cet enfant, un caractĂšre effectif ;8. ConsidĂ©rant qu’il rĂ©sulte des points 5 Ă  7 que les conclusions Ă  fin d’injonction de M. Brahime ne peuvent ĂȘtre accueillies ; ...D E C I D E Article 1er La dĂ©cision du 11 janvier 2016 de l’inspecteur d’acadĂ©mie, directeur acadĂ©mique des services de l’Education nationale d’Ille-et-Vilaine est 2 L’Etat versera Ă  M. B une somme de 100 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice complet L916-1 version antĂ©rieure au 29/12/2013Des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV pour exercer des fonctions d'assistance Ă  l'Ă©quipe Ă©ducative en lien avec le projet d'Ă©tablissement, notamment pour l'encadrement et la surveillance des Ă©lĂšves. Lorsqu'ils sont recrutĂ©s pour l'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s, y compris en dehors du temps scolaire, leur recrutement intervient aprĂšs accord de l'inspecteur d'acadĂ©mie. Ils peuvent Ă©galement ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements mentionnĂ©s Ă  l'article L. 442-1, aprĂšs accord de l'inspecteur d'acadĂ©mie, pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s, y compris en dehors du temps scolaire. Les assistants d'Ă©ducation qui remplissent des missions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s bĂ©nĂ©ficient d'une formation spĂ©cifique pour l'accomplissement de leurs fonctions, mise en oeuvre en collaboration avec les associations d'aide aux familles d'enfants handicapĂ©s. A l'issue de leur contrat, les assistants d'Ă©ducation peuvent demander Ă  faire valider l'expĂ©rience acquise dans les conditions dĂ©finies par les articles L. 2323-33, L. 6111-1, L. 6311-1, L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail. Les assistants d'Ă©ducation peuvent exercer leurs fonctions dans l'Ă©tablissement qui les a recrutĂ©s, dans un ou plusieurs autres Ă©tablissements ainsi que, compte tenu des besoins apprĂ©ciĂ©s par l'autoritĂ© administrative, dans une ou plusieurs Ă©coles. Dans ce dernier cas, les directeurs d'Ă©cole peuvent participer Ă  la procĂ©dure de recrutement. Les assistants d'Ă©ducation sont recrutĂ©s par des contrats d'une durĂ©e maximale de trois ans, renouvelables dans la limite d'une pĂ©riode d'engagement totale de six ans. Le dispositif des assistants d'Ă©ducation est destinĂ© Ă  bĂ©nĂ©ficier en prioritĂ© Ă  des Ă©tudiants boursiers. Par dĂ©rogation au premier alinĂ©a, des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par l'Etat pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 351-3, ainsi que pour exercer des fonctions d'accompagnement auprĂšs des Ă©tudiants handicapĂ©s inscrits dans les Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieur mentionnĂ©s aux titres Ier, II, IV et V du livre VII du prĂ©sent code et pour lesquels une aide a Ă©tĂ© reconnue nĂ©cessaire par la commission mentionnĂ©e au premier alinĂ©a de l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles. Les conditions d'application du prĂ©sent article sont fixĂ©es par dĂ©cret pris aprĂšs avis du comitĂ© technique ministĂ©riel du ministĂšre chargĂ© de l'Ă©ducation. Ce dĂ©cret prĂ©cise les conditions dans lesquelles est amĂ©nagĂ© le temps de travail des assistants d'Ă©ducation, en particulier pour ceux qui sont astreints Ă  un service de nuit. Il prĂ©cise Ă©galement les droits reconnus Ă  ces agents au titre des articles L. 970-1 et suivants du code du travail. Il peut dĂ©roger, dans la mesure justifiĂ©e par la nature de leurs missions, aux dispositions gĂ©nĂ©rales prises pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'EtatConseil d'État N° 345434 InĂ©dit au recueil Lebon 4Ăšme et 5Ăšme sous-sections rĂ©unies M. Stirn, prĂ©sident M. Bruno Bachini, rapporteur M. Keller RĂ©mi, rapporteur public Lecture du mercredi 20 avril 2011REPUBLIQUE FRANCAISE - AU NOM DU PEUPLE FRANCAISVu le pourvoi, enregistrĂ© le 30 dĂ©cembre 2010 au secrĂ©tariat du contentieux du Conseil d'Etat, prĂ©sentĂ© par le MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE ; le ministre demande au Conseil d'Etat 1° d'annuler l'ordonnance n° 1004766 du 16 dĂ©cembre 2010 par laquelle le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Rennes, statuant sur le fondement de l'article L. 521-1 du code de justice administrative, a, d'une part, ordonnĂ© la suspension de l'exĂ©cution des dĂ©cisions implicites par lesquelles l'inspecteur d'acadĂ©mie du FinistĂšre a refusĂ© de mettre Ă  la disposition de l'enfant de M. et Mme MikaĂ«l A un auxiliaire de vie scolaire pour des activitĂ©s pĂ©riscolaires Ă  raison de 6 heures par semaine en application de la dĂ©cision de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapĂ©es du 29 juillet 2010, et, d'autre part, a enjoint Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie du FinistĂšre de rĂ©examiner la situation d'Hannah A et de prendre une nouvelle dĂ©cision dans le dĂ©lai de quinze jours Ă  compter de la notification de l'ordonnance ; 2° de rejeter la demande de suspension d'exĂ©cution prĂ©sentĂ©e par M. et Mme A et la commune de Plabennec ; Vu les autres piĂšces du dossier ; Vu le code de l'Ă©ducation ; Vu le code de justice administrative ; AprĂšs avoir entendu en sĂ©ance publique - le rapport de M. Bruno Bachini, MaĂźtre des RequĂȘtes, - les conclusions de M. RĂ©mi Keller, rapporteur public ; ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article L. 521-1 du code de justice administrative Quand une dĂ©cision administrative, mĂȘme de rejet, fait l'objet d'une requĂȘte en annulation ou en rĂ©formation, le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s, saisi d'une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l'exĂ©cution de cette dĂ©cision, ou de certains de ses effets, lorsque l'urgence le justifie et qu'il est fait Ă©tat d'un moyen propre Ă  crĂ©er, en l'Ă©tat de l'instruction, un doute sĂ©rieux quant Ă  la lĂ©galitĂ© de la dĂ©cision. ... ; ConsidĂ©rant qu'il ressort des piĂšces du dossier soumis au juge des rĂ©fĂ©rĂ©s que, par une dĂ©cision du 29 juillet 2010, la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapĂ©es a fait droit Ă  la demande prĂ©sentĂ©e par M. et Mme A tendant Ă  l'accompagnement de leur fille Hannah par un auxiliaire de vie scolaire, en leur accordant une durĂ©e d'intervention hebdomadaire de 18 heures, Ă  raison de 12 heures au titre du temps scolaire et de 6 heures au titre du temps pĂ©riscolaire, pour la pĂ©riode allant du 1er septembre 2010 au 31 aoĂ»t 2012 ; que, par une dĂ©cision implicite de rejet, l'inspecteur d'acadĂ©mie du FinistĂšre a refusĂ© de mettre en oeuvre cette dĂ©cision en tant qu'elle prĂ©voyait la prise en charge des 6 heures d'intervention hebdomadaire correspondant Ă  la partie pĂ©riscolaire de la mission de l'auxiliaire ; ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article L. 112-1 du code de l'Ă©ducation Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent ..., le service public de l'Ă©ducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supĂ©rieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes prĂ©sentant un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant. Dans ses domaines de compĂ©tence, l'Etat met en place les moyens financiers et humains nĂ©cessaires Ă  la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes handicapĂ©s ... ; qu'aux termes de l'article L. 351-3 du mĂȘme code Lorsque la commission mentionnĂ©e Ă  l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles constate qu'un enfant peut ĂȘtre scolarisĂ© dans une classe de l'enseignement public ou d'un Ă©tablissement visĂ© au 3° de l'article L. 351-1 du prĂ©sent code Ă  condition de bĂ©nĂ©ficier d'une aide individuelle dont elle dĂ©termine la quotitĂ© horaire, cette aide peut ĂȘtre apportĂ©e par un assistant d'Ă©ducation recrutĂ© conformĂ©ment au sixiĂšme alinĂ©a de l'article L. 916-1. / Les assistants d'Ă©ducation affectĂ©s aux missions d'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaire des enfants handicapĂ©s sont recrutĂ©s par l'inspecteur d'acadĂ©mie, directeur des services dĂ©partementaux de l'Ă©ducation nationale ... ; qu'aux termes du premier alinĂ©a de l'article L. 916-1 du mĂȘme code Des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV pour exercer des fonctions d'assistance Ă  l'Ă©quipe Ă©ducative, fonctions en lien avec le projet d'Ă©tablissement, notamment pour l'encadrement et la surveillance des Ă©lĂšves et l'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaires des Ă©lĂšves handicapĂ©s, y compris en dehors du temps scolaire ... et qu'aux termes du sixiĂšme alinĂ©a de ce mĂȘme article Par dĂ©rogation au premier alinĂ©a, des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par l'Etat pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration des Ă©lĂšves handicapĂ©s dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 351-3 ... ; ConsidĂ©rant qu'il rĂ©sulte des dispositions prĂ©citĂ©es des articles L. 351-3 et L. 916-1 du code de l'Ă©ducationque les missions des assistants d'Ă©ducation affectĂ©s Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaires des enfants handicapĂ©s s'Ă©tendent au-delĂ  du seul temps scolaire ; ConsidĂ©rant qu'il incombe Ă  l'Etat, au titre de sa mission d'organisation gĂ©nĂ©rale du service public de l'Ă©ducation, de prendre l'ensemble des mesures et de mettre en oeuvre les moyens nĂ©cessaires pour que le droit Ă  l'Ă©ducation et l'obligation scolaire aient, pour les enfants handicapĂ©s, un caractĂšre effectif ; qu'Ă  cette fin, la prise en charge par celui-ci du financement des emplois des assistants d'Ă©ducation qu'il recrute pour l'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaires des enfants handicapĂ©s en milieu ordinaire n'est pas limitĂ©e aux interventions pendant le temps scolaire ; ConsidĂ©rant qu'il rĂ©sulte de ce qui prĂ©cĂšde que le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Rennes n'a pas commis d'erreur de droit en retenant comme Ă©tant propre Ă  crĂ©er, en l'Ă©tat de l'instruction, un doute sĂ©rieux sur la lĂ©galitĂ© de la dĂ©cision litigieuse le moyen tirĂ© de ce que l'inspecteur d'acadĂ©mie avait commis une erreur de droit en refusant Ă  M et Mme A l'octroi des heures d'accompagnement pĂ©riscolaire de leur enfant reconnues par la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapĂ©es au motif que ces activitĂ©s ne relevaient pas du service public de l'Ă©ducation ; que, par suite, le MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE n'est pas fondĂ© Ă  demander l'annulation de l'ordonnance attaquĂ©e ; D E C I D E - Article 1er Le pourvoi du MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE est rejetĂ©. Article 2 La prĂ©sente dĂ©cision sera notifiĂ©e au MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE, Ă  M. et Mme MikaĂ«l A et Ă  la commune de Plabennec. Article L916-2Les assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre mis Ă  la disposition des collectivitĂ©s territoriales pour participer aux activitĂ©s complĂ©mentaires prĂ©vues Ă  l'article L. 216-1 ou aux activitĂ©s organisĂ©es en dehors du temps scolaire dans les Ă©coles et les Ă©tablissements d'enseignement conformĂ©ment Ă  l'article L. convention conclue entre la collectivitĂ© intĂ©ressĂ©e et l'Ă©tablissement employeur dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 216-1 prĂ©cise les conditions de cette mise Ă  72-2 de la ConstitutionLes collectivitĂ©s territoriales bĂ©nĂ©ficient de ressources dont elles peuvent disposer librement dans les conditions fixĂ©es par la peuvent recevoir tout ou partie du produit des impositions de toutes natures. La loi peut les autoriser Ă  en fixer l'assiette et le taux dans les limites qu'elle recettes fiscales et les autres ressources propres des collectivitĂ©s territoriales reprĂ©sentent, pour chaque catĂ©gorie de collectivitĂ©s, une part dĂ©terminante de l'ensemble de leurs ressources. La loi organique fixe les conditions dans lesquelles cette rĂšgle est mise en transfert de compĂ©tences entre l'Etat et les collectivitĂ©s territoriales s'accompagne de l'attribution de ressources Ă©quivalentes Ă  celles qui Ă©taient consacrĂ©es Ă  leur exercice. Toute crĂ©ation ou extension de compĂ©tences ayant pour consĂ©quence d'augmenter les dĂ©penses des collectivitĂ©s territoriales est accompagnĂ©e de ressources dĂ©terminĂ©es par la loi prĂ©voit des dispositifs de pĂ©rĂ©quation destinĂ©s Ă  favoriser l'Ă©galitĂ© entre les collectivitĂ©s constitutionnel - DĂ©cision n° 2003-471 DC du 24 avril 2003 Loi relative aux assistants dÂŽĂ©ducation 6. ConsidĂ©rant, en second lieu, que le nouvel article L. 916-2 dispose Les assistants dÂŽĂ©ducation peuvent ĂȘtre mis Ă  la disposition des collectivitĂ©s territoriales pour participer aux activitĂ©s complĂ©mentaires prĂ©vues Ă  lÂŽarticle L. 216-1 ou aux activitĂ©s organisĂ©es en dehors du temps scolaire dans les Ă©coles et les Ă©tablissements dÂŽenseignement conformĂ©ment Ă  lÂŽarticle L. 212-5 » ; quÂŽil rĂ©sulte de ses termes mĂȘmes que cet article se borne Ă  permettre aux assistants dÂŽĂ©ducation de participer, en dehors des missions pour lesquelles ils ont Ă©tĂ© recrutĂ©s, Ă  des activitĂ©s organisĂ©es par les collectivitĂ©s territoriales, quÂŽil sÂŽagisse des activitĂ©s Ă©ducatives, sportives et culturelles complĂ©mentaires prĂ©vues, dans le cadre du temps scolaire, par lÂŽarticle L. 216-1 ou des activitĂ©s Ă  caractĂšre culturel, sportif, social ou socio-Ă©ducatif organisĂ©es, en dehors du temps scolaire, dans les conditions prĂ©vues par lÂŽarticle L. 212-15 ; que cet article nÂŽa ainsi ni pour objet ni pour effet de permettre aux collectivitĂ©s territoriales de financer des emplois dÂŽassistants dÂŽĂ©ducation pour exercer les missions incombant Ă  lÂŽEtat prĂ©vues Ă  lÂŽarticle L. 916-1 ; »LOI n° 2013-1278 du 29 dĂ©cembre 2013 de finances pour 2014 1Article 124I. ― Le code de l'Ă©ducation est ainsi modifiĂ© 1° L'article L. 351-3 est ainsi modifiĂ© a A la fin du premier alinĂ©a, les mots assistant d'Ă©ducation recrutĂ© conformĂ©ment aux modalitĂ©s dĂ©finies Ă  l'avant-dernier alinĂ©a de l'article L. 916-1 » sont remplacĂ©s par les mots accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap recrutĂ© conformĂ©ment aux modalitĂ©s dĂ©finies Ă  l'article L. 917-1 » ; b A la seconde phrase du deuxiĂšme alinĂ©a, les mots assistant d'Ă©ducation recrutĂ© dans les conditions fixĂ©es au premier alinĂ©a de l'article L. 916-1 » sont remplacĂ©s par les mots accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap recrutĂ© dans les conditions fixĂ©es Ă  l'article L. 917-1 » ; c Les troisiĂšme et quatriĂšme alinĂ©as sont supprimĂ©s ; 2° Les deux derniĂšres phrases du premier alinĂ©a, la premiĂšre phrase du deuxiĂšme alinĂ©a et l'avant-dernier alinĂ©a de l'article L. 916-1 sont supprimĂ©s ; 3° Le titre Ier du livre IX de la quatriĂšme partie est complĂ©tĂ© par un chapitre VII ainsi rĂ©digĂ© Chapitre VII Dispositions spĂ©cifiques relatives aux accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap Art. L. accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire de ces Ă©lĂšves, y compris en dehors du temps scolaire. Ils sont recrutĂ©s par l'Etat, par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV de la deuxiĂšme partie ou par les Ă©tablissements mentionnĂ©s Ă  l'article L. 442-1. Lorsqu'ils sont recrutĂ©s par ces Ă©tablissements, leur recrutement intervient aprĂšs accord du directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale. Des accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent Ă©galement ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d'accompagnement auprĂšs des Ă©tudiants en situation de handicap inscrits dans les Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieur mentionnĂ©s aux titres Ier, II, IV et V du livre VII de la troisiĂšme partie du prĂ©sent code et pour lesquels une aide a Ă©tĂ© reconnue nĂ©cessaire par la commission mentionnĂ©e Ă  l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles. Ils peuvent exercer leurs fonctions dans l'Ă©tablissement qui les a recrutĂ©s, dans un ou plusieurs autres Ă©tablissements ainsi que, compte tenu des besoins apprĂ©ciĂ©s par l'autoritĂ© administrative, dans une ou plusieurs Ă©coles. Dans ce dernier cas, les directeurs d'Ă©cole peuvent participer Ă  la procĂ©dure de recrutement. Ils peuvent ĂȘtre mis Ă  la disposition des collectivitĂ©s territoriales dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 916-2 du prĂ©sent code. Les accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap bĂ©nĂ©ficient d'une formation spĂ©cifique pour l'accomplissement de leurs fonctions, mise en Ɠuvre en collaboration avec les associations d'aide aux familles d'enfants en situation de handicap. Ils peuvent demander Ă  faire valider l'expĂ©rience acquise dans les conditions dĂ©finies aux articles L. 2323-33, L. 6111-1, L. 6311-1, L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail. Ils sont recrutĂ©s par contrat d'une durĂ©e maximale de trois ans, renouvelable dans la limite maximale de six ans. Lorsque l'Etat conclut un nouveau contrat avec une personne ayant exercĂ© pendant six ans en qualitĂ© d'accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap en vue de poursuivre ces missions le contrat est Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Pour l'apprĂ©ciation de la durĂ©e des six ans, les services accomplis Ă  temps incomplet et Ă  temps partiel sont assimilĂ©s Ă  des services Ă  temps complet. Les services accomplis de maniĂšre discontinue sont pris en compte, sous rĂ©serve que la durĂ©e des interruptions n'excĂšde pas quatre mois. Les services accomplis en qualitĂ© d'assistant d'Ă©ducation pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap sont assimilĂ©s Ă  des services accomplis en qualitĂ© d'accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap. Les accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap sont rĂ©gis par les dispositions rĂ©glementaires gĂ©nĂ©rales applicables aux agents contractuels de l'Etat prises pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'Etat, sous rĂ©serve de dĂ©rogations prĂ©vues par le dĂ©cret mentionnĂ© au dernier alinĂ©a du prĂ©sent article. Les conditions d'application du prĂ©sent article sont fixĂ©es par dĂ©cret, pris aprĂšs avis du comitĂ© technique ministĂ©riel du ministĂšre chargĂ© de l'Ă©ducation nationale. » II. ― Jusqu'Ă  l'entrĂ©e en vigueur du dĂ©cret mentionnĂ© au dernier alinĂ©a de l'article L. 917-1 du code de l'Ă©ducation, les assistants d'Ă©ducation exerçant des missions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap demeurent rĂ©gis par le dĂ©cret n° 2003-484 du 6 juin 2003 fixant les conditions de recrutement et d'emploi des assistants d'Ă©ducation. L'Etat peut proposer un contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e aux assistants d'Ă©ducation parvenus, Ă  compter du 1er janvier 2013, au terme de six annĂ©es d'engagement pour exercer des missions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap. Cette proposition est faite au plus tard au terme du contrat en cours des personnels concernĂ©s, qu'ils soient en fonction ou en congĂ© prĂ©vu par les dispositions rĂ©glementaires qui leur sont applicables Ă  la date d'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi. Le contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e proposĂ© en application du deuxiĂšme alinĂ©a du prĂ©sent II est rĂ©gi par l'article L. 917-1 du code de l'Ă©ducation. Il prĂ©voit une quotitĂ© de temps de travail au moins Ă©gale Ă  celle prĂ©vue par le prĂ©cĂ©dent contrat. Il peut prĂ©voir de modifier les clauses relatives aux Ă©tablissements d'enseignement oĂč l'agent est susceptible d'exercer. Lorsque l'agent refuse le contrat proposĂ©, il est maintenu en fonction jusqu'au terme de son contrat en L916-1Des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV pour exercer des fonctions d'assistance Ă  l'Ă©quipe Ă©ducative en lien avec le projet d'Ă©tablissement, notamment pour l'encadrement et la surveillance des Ă©lĂšves. [Phrases supprimĂ©es]A l'issue de leur contrat, les assistants d'Ă©ducation peuvent demander Ă  faire valider l'expĂ©rience acquise dans les conditions dĂ©finies par les articles L. 2323-33, L. 6111-1, L. 6311-1, L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail Les assistants d'Ă©ducation peuvent exercer leurs fonctions dans l'Ă©tablissement qui les a recrutĂ©s, dans un ou plusieurs autres Ă©tablissements ainsi que, compte tenu des besoins apprĂ©ciĂ©s par l'autoritĂ© administrative, dans une ou plusieurs Ă©coles. Dans ce dernier cas, les directeurs d'Ă©cole peuvent participer Ă  la procĂ©dure de recrutement. Les assistants d'Ă©ducation sont recrutĂ©s par des contrats d'une durĂ©e maximale de trois ans, renouvelables dans la limite d'une pĂ©riode d'engagement totale de six ans. Le dispositif des assistants d'Ă©ducation est destinĂ© Ă  bĂ©nĂ©ficier en prioritĂ© Ă  des Ă©tudiants boursiers. Les conditions d'application du prĂ©sent article sont fixĂ©es par dĂ©cret pris aprĂšs avis du comitĂ© technique ministĂ©riel du ministĂšre chargĂ© de l'Ă©ducation. Ce dĂ©cret prĂ©cise les conditions dans lesquelles est amĂ©nagĂ© le temps de travail des assistants d'Ă©ducation, en particulier pour ceux qui sont astreints Ă  un service de nuit. Il prĂ©cise Ă©galement les droits reconnus Ă  ces agents au titre des articles L. 970-1 et suivants du code du travail. Il peut dĂ©roger, dans la mesure justifiĂ©e par la nature de leurs missions, aux dispositions gĂ©nĂ©rales prises pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'Etat.
Salut Alors voilà, je suis en S SI et j'ai une bonne moyenne (14.5 de moyenne avec les félicitations au 1er trimestre) mais, voilà, j'aime pas du tout les sujets que l'on aborde en SI
ï»żSommaire Qu'est-ce que l'auxiliaire de vie scolaireLes missions de l'auxiliaire de vie scolaireAVS auxiliaire de vie scolaire ou AESH accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap ?Attribution de l'AVSDe qui dĂ©pend l'AVS ?Vous avez sĂ»rement dĂ©jĂ  entendu parler de “l’AVS” lors de rĂ©unions de rentrĂ©e scolaire. Et vous avez bien dĂ» remarquer qu’en gĂ©nĂ©ral, cette personne aide principalement un seul enfant qui a une particularitĂ©. Mais qu’est-ce donc un ou une AVS ? Et quel est son rĂŽle au sein de la classe ? DĂ©taillons sa mission, son statut et sa que l'auxiliaire de vie scolaireAVS est l’acronyme de Auxiliaire de Vie Scolaire. C’est un homme ou une femme qui a pour mission d’aider un enfant handicapĂ© Ă  s’intĂ©grer et Ă  progresser dans un Ă©tablissement scolaire de Vie Scolaire accompagne de façon continue ou non, un ou des Ă©lĂšves handicapĂ©s dans leurs activitĂ©s scolaires et/ou pĂ©riscolaires. Il peut accompagner les Ă©lĂšves Ă  titre individuel AVS-I, mutualisĂ© AVS-M ou collectif AVS-CO.Cet accompagnement spĂ©cifique concerne les enfants et les adolescents susceptibles d’intĂ©grer une classe ordinaire mais qui rencontrent un problĂšme de santĂ© ou d’apprentissage invalidant. Cela inclut des Ă©lĂšves souffrant de divers handicaps, qu’ils soient sensoriels, moteurs ou missions de l'auxiliaire de vie scolaireL'AVS possĂšde 4 activitĂ©s majeures. Les voici Des interventions dĂ©finies par l’enseignant dans la classeL’AVS travaille en collaboration Ă©troite avec l’enseignant rĂ©fĂ©rent de la classe. Il exĂ©cute les activitĂ©s prĂ©parĂ©es par l’enseignant. Il participe Ă  la mise en Ɠuvre et au suivi des projets individualisĂ©s de favorise la mobilitĂ©Une aide aux dĂ©placements, Ă  l’installation matĂ©rielle de l’élĂšve, aux actes de la vie quotidienne. Avec, par exemple, l'accompagnement de l’élĂšve lorsqu'il doit changer de classe au collĂšge, il l’aide Ă  prĂ©parer son cartable, il vĂ©rifie qu’il n’oublie rien. L’AVS accompagne aussi l’enfant lors des sorties scolaires, il aide Ă  la prise de repas si besoin, aux gestes d’hygiĂšne, il assure les conditions de sĂ©curitĂ© et de confort et il aide Ă  la communication avec les autres collabore au projet personnalisĂ© de scolarisationL’AVS est prĂ©sent lors des rĂ©unions Ă©ducatives concernant l’enfant ou les enfants qu’il accompagne. Une rencontre de prĂ©sentation est organisĂ©e par l’équipe Ă©ducative avec la famille. La posture de l’AVS doit rester professionnelle donc l’enseignant reste le rĂ©fĂ©rent dans le but de prĂ©server la relation parent/AVS. Il est tenu au secret aide Ă  la manipulation du matĂ©riel scolaire lors de certains enseignementsCela peut impliquer par exemple la prise de notes, l’explication et la reformulation des consignes donnĂ©es par l’enseignant Ă  l’écrit ou par pictogrammeAVS auxiliaire de vie scolaire ou AESH accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap ?AVS Auxiliaire de Vie Scolaire ou AESH Accompagnant des ElĂšves en Situation de Handicap ces 2 statuts couvrent en fait une mĂȘme mission est sensiblement la mĂȘme sous la responsabilitĂ© pĂ©dagogique des enseignants, ils ont pour vocation de favoriser l’autonomie de l’élĂšve, sans pour autant se substituer Ă  mĂ©tier d'AVS ou de AESH nĂ©cessite des qualitĂ©s d'Ă©coute, de patience et d'empathie. Il faut Ă©galement avoir un bon relationnel, apprĂ©cier le travail avec les jeunes et le travail en statut et une formation diffĂ©rentsL'AVSLes AVS en CUI contrat unique d’insertion doivent d’abord ĂȘtre reconnus Ă©ligibles Ă  un CUI par PĂŽle sont recrutĂ©s par l'Éducation nationale en tant qu’agents contractuels sous contrat de droit privĂ©. Ils sont appelĂ©s Ă  devenir AESH aprĂšs un minimum d’exercice de 9 mois. Ils doivent postuler auprĂšs du rectorat et effectuer 60h de formation. C’est le chef d’établissement qui les AESH sont des agents contractuels de l'État recrutĂ©s par contrat de droit public par l'Éducation nationale. Ce contrat est d’une durĂ©e de 3 ans, renouvelable 1 fois avec la possibilitĂ© Ă  terme d’obtenir un contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Le recrutement des accompagnants se fait au niveau des rectorats des ĂȘtre embauchĂ© comme AESH, le candidat doit Être titulaire du diplĂŽme d’état d’accompagnement Ă©ducatif et social DEAES option inclusion nouveau diplĂŽme créé en 2016 et qui remplace le diplĂŽme d’état d’auxiliaire de vie sociale et le diplĂŽme d’état d’aide mĂ©dico-psychologiqueOu avoir exercĂ© pendant au moins 9 mois, la fonction AVS en CUI contrat unique d’insertionSoit justifier d’un diplĂŽme classĂ© au moins niveau IV = baccalaurĂ©atAttribution de l'AVSLorsque la famille dĂ©cide en accord avec l’équipe Ă©ducative de la nĂ©cessitĂ© d’une AVS, elle monte un dossier auprĂšs de la MDPH Maison dĂ©partementale des Personnes HandicapĂ©es.Un dossier en fonction des besoinsEn fonction des besoins, la commission choisit que l’aide soit individuelle ou mutualisĂ©e voir collective. Elle dĂ©pend de la quantitĂ© de temps nĂ©cessaire et relĂšve de la CDAPH Commission des Droits et Autonomie des Personnes HandicapĂ©es.Les principaux Ă©lĂ©ments pris en compte sont son environnement scolaire,la durĂ©e du temps de scolarisation,le besoin de l'Ă©lĂšve,la nature des activitĂ©s Ă  accomplir par l'accompagnantDe plus en plus souvent, l’AVS est mutualisĂ©e, c'est-Ă -dire qu’il aide plusieurs enfants en situation de handicap dans la mĂȘme classe ou dans la mĂȘme qui dĂ©pend l'AVS ?Dans l’enseignement public, l’AVS dĂ©pend du l'Ă©tablissement d'enseignement privĂ© sous contrat, le chef d'Ă©tablissement assume la responsabilitĂ© de l'Ă©tablissement et de la vie scolaire et a donc autoritĂ© sur l'AVS ou Des lecteurs ont trouvĂ© cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il Ă©tĂ© utile ?À lire aussi
Discussionsportant plutĂŽt sur le point de vue des parents d'enfants autistes ou Asperger, par exemple : j'ai un problĂšme avec mon enfant, que puis-je faire ? 11 messages ‱ Page 1 sur 1. Message. Auteur. ryryetjenni Assidu Messages : 200 EnregistrĂ© le : mar. 08 janv. 2013 21:35 Localisation : 62. refus d AVS-I #1 Message par ryryetjenni » mar. 12 fĂ©vr. 2013 19:33 Le 25 Novembre dernier, je vous informais qu’un dĂ©cret important concernant l’accompagnement pĂ©dagogique des Ă©lĂšves. Ce dĂ©cret annonçait Ă©galement l’arrivĂ©e du Plan d’Accompagnement PersonnalisĂ© pour les Ă©lĂšves touchĂ©s par un trouble des apprentissages. Ce plan vient se substituer au PPRE Programme PersonnalisĂ© de RĂ©ussite Educative. Il dĂ©finit les amĂ©nagements pĂ©dagogiques nĂ©cessaires aux Ă©lĂšves. Une circulaire datant du 22 Janvier 2015 met en Ɠuvre ce nouveau dispositif. La Plan d’Accompagnement PersonnalisĂ© Art. D. 311-13. – Les Ă©lĂšves dont les difficultĂ©s scolaires rĂ©sultent d’un trouble des apprentissages peuvent bĂ©nĂ©ficier d’un plan d’accompagnement personnalisĂ© prĂ©vu Ă  l’article L. 311-7, aprĂšs avis du mĂ©decin de l’éducation nationale. Il se substitue Ă  un Ă©ventuel programme personnalisĂ© de rĂ©ussite Ă©ducative. Le plan d’accompagnement personnalisĂ© dĂ©finit les mesures pĂ©dagogiques qui permettent Ă  l’élĂšve de suivre les enseignements prĂ©vus au programme correspondant au cycle dans lequel il est scolarisĂ©. Il est rĂ©visĂ© tous les ans. » Pour qui ? Pour les enfants en difficultĂ© et plus particuliĂšrement pour les enfants dys » dyslexiques, dyspraxiques, dysphasiques, dyscalculiques, dysgraphiques, TDAH. Comment le mettre en place ? Il est mis en place aprĂšs avis du mĂ©decin scolaire ou par le mĂ©decin qui suit l’enfant quand il n’y a pas de mĂ©decin scolaire sous la responsabilitĂ© du chef d’établissement. Il peut ĂȘtre mis en place sur proposition – Du conseil des maĂźtres – Du conseil de classe – A la demande des parents de l’élĂšve ou de l’élĂšve majeur – Le professeur principal Les parents ou l’élĂšve majeur doivent accepter la mise en place de ce plan. Le mĂ©decin scolaire ou le mĂ©decin qui suit l’enfant examine alors l’élĂšve et les bilans psychologiques et paramĂ©dicaux passĂ©s par l’élĂšve bilan orthophonique, test du QI, bilan en ergothĂ©rapie
. C’est lui qui donne son avis sur la mise en place ou non du PAP. Une fois, l’avis favorable du mĂ©decin donnĂ©, le PAP peut ĂȘtre mis en Ɠuvre lors d’une rĂ©union avec les enseignants, les professionnels qui entourent l’élĂšve, l’élĂšve lui-mĂȘme et/ou l’un de ses parents. Cette rĂ©union a lieu tous les ans pour réévaluer les diffĂ©rents besoins de l’élĂšve. Que contient-il ? Le PAP contient les amĂ©nagements pĂ©dagogiques Ă  mettre en place
 mais, pas que ! Il se constitue comme une sorte de livret qui dĂ©marre dĂšs la maternelle et qui se poursuit jusqu’au lycĂ©e du premier au second degrĂ©. Chaque annĂ©e, il est réévaluĂ© au niveau des amĂ©nagements dont l’élĂšve a besoin. DĂšs le primaire, il prĂ©voit l’utilisation de l’ordinateur avec la possibilitĂ© d’avoir des logiciels spĂ©cifiques. La PAP tient donc compte aussi du matĂ©riel pĂ©dagogique dont l’élĂšve pourrait avoir besoin. Voir le formulaire du PAP ici La diffĂ©rence entre le PAP et le PPS Le PPS Plan PersonnalisĂ© de Scolarisation est mis en place pour les Ă©lĂšves ayant une reconnaissance de situation de handicap rĂ©alisĂ©e par la MDPH. Il contient Ă©galement les amĂ©nagements pĂ©dagogiques et Ă©galement le matĂ©riel adaptĂ©. La diffĂ©rence alors ? Le PAP ne permet pas de mettre en place une aide humaine AVS ou EVS. L’aide humaine relĂšve d’une dĂ©cision d’attribution donnĂ©e par la MDPH. Le PAP ne permet pas la prise en charge financiĂšre du matĂ©riel pĂ©dagogique. Autrement dit, l’ordinateur et les logiciels spĂ©cifiques sont les biens propres de l’élĂšve. Il vous faudra donc les financier par vos propres moyens. Comme on sait que l’attribution et la fourniture par la suite de ce matĂ©riel peuvent mettre plusieurs mois dans certains dĂ©partements, il permet donc de mettre en place rapidement l’aide matĂ©rielle dont l’élĂšve a besoin pour poursuivre sa scolaritĂ© dans de bonnes conditions. La crainte est bien sĂ»r que les demandes de matĂ©riel pĂ©dagogique adaptĂ© ne soient plus financĂ©es et qu’il se produise une sorte de double niveau dans les accĂšs aux amĂ©nagements nĂ©cessaires, liĂ© aux moyens financiers des parents. Peut-ĂȘtre que d’autres choses seront mises en place ultĂ©rieurement pour pallier ce point. Ce que le PAP ne permet pas – L’attribution d’une aide humaine AVS-EVS – Le financement du matĂ©riel pĂ©dagogique adaptĂ© MPA et logiciels spĂ©cifiques – L’amĂ©nagement des programmes et la dispense de certaines matiĂšres. Avantages du PAP Une mise en Ɠuvre rapide un trĂšs gros point positif puisque les dĂ©lais pour bĂ©nĂ©ficier des amĂ©nagements et/ou d’un ordinateur sont trĂšs rĂ©duits. Sa mise en Ɠuvre est donc trĂšs mis en place sans passer par la MDPH. Il n’est plus question d’attendre la reconnaissance de situation de handicap par la MDPH. La lourdeur du dossier Ă  rĂ©aliser ne freinera plus certains parents, ni mĂȘme leur crainte d’une sorte de stigmatisation. Les questionnements qu’il peut entraĂźner o Permettra-t-il Ă  certains parents de prendre conscience des situations rĂ©elles de handicap de leur enfant ?Ne participera-t-il pas Ă  ralentir cette prise de conscience nĂ©cessaire Ă  la reconnaissance globale de l’enfant ? Ou pourrait-il ĂȘtre aussi un pas pour laisser un temps aux parents qui ont besoin de faire leur chemin pour aller vers cette prise de confiance ? o Ne rĂ©duira-t-il pas la vision que peuvent avoir certains enseignants face aux Ă©lĂšves ayant un trouble d’apprentissage ? S’ils n’ont plus de reconnaissance de situation de handicap comment ces amĂ©nagements seront-ils toujours vraiment perçus ? o Comment faire lorsque les mĂ©decins scolaires dans certains secteurs sont dĂ©jĂ  surchargĂ©s ? Comment peut-on alors faire bĂ©nĂ©ficier rapidement de ce PAP aux Ă©lĂšves concernĂ©s ? o Quels sont les recours lorsque l’avis donnĂ© par le mĂ©decin n’est pas favorable alors que les bilans et autres professionnels qui suivent cet Ă©lĂšve appuient cette demande ? Quels sont les recours possibles pour les parents ou pour l’élĂšve ? o N’est-ce pas rĂ©duire les troubles spĂ©cifiques des apprentissages Ă  de simples difficultĂ©s scolaires ? N’est-ce pas supprimer la notion de handicap et de durabilitĂ© que permet une reconnaissance rĂ©alisĂ©e auprĂšs de la MDPH ? N’est-ce pas oublier que les troubles dys » ne s’arrĂȘtent pas aux portes de l’école mais, entraĂźnent des troubles Ă©galement dans la vie quotidienne de l’enfant ? MalgrĂ© toutes ces questions, il me semble que le PAP va pouvoir rĂ©pondre Ă  bien des besoins en termes d’amĂ©nagement en facilitant leur accĂšs. Les diffĂ©rentes propositions comme par exemple exemple d’items prĂ©sentĂ©s dans l’enseignement Ă©lĂ©mentaire Installer l’élĂšve face au tableau Veiller Ă  la lisibilitĂ© et Ă  la clartĂ© de l’affichage Utiliser un code couleur par matiĂšre PrivilĂ©gier l’agenda au cahier de textes VĂ©rifier que l’agenda soit lisiblement renseignĂ© Agrandir les formats des supports Ă©crits A3 Donner des supports de travail ou d’exercices dĂ©jĂ  Ă©crits QCM par exemple Fournir des photocopies pour privilĂ©gier l’apprentissage et le sens donné  ouvrent un champs assez large. Il est permis aussi dans une partie libre de dĂ©finir un amĂ©nagement spĂ©cifique. Il devrait permettre Ă©galement une continuitĂ© des amĂ©nagements tout au long du parcours scolaire. Cela devrait ĂȘtre normalement dĂ©jĂ  le cas avec la mise en place du livret TSL qui n’est finalement qu’exceptionnellement utilisĂ©. Ce document unique devrait donc Ă©galement faciliter aussi la transition entre le primaire/collĂšge, collĂšge/lycĂ©e
 ou encore en cas de changement d’établissement. —————– Formulaire PAP ici Circulaire de mise en Ɠuvre du PAP ici Lesparents ne peuvent pas payer davantage (maman qui a arrĂȘtĂ© de travailler pour s'occuper de son fils et papa qui est actuellement en congĂ© maladie en attente d'une opĂ©ration). L'Ă©lĂšve va ĂȘtre suivi par une association qui va centraliser tous les bilans et reprendre les choses en main (la maman m'a dit qu'elle avait rendez-vous la semaine prochaine). Passer au contenuACCUEILEric ROCHEBLAVEPrĂ©sentationLa Presse en parleAvis ClientsAVOCAT SPÉCIALISTEAvocat SpĂ©cialisteMontpellier AVOCATCabinet d’Avocat MontpellierAvocat Droit du Travail MontpellierAVOCAT URSSAFMise en demeure de l’URSSAF que faut-il faire ?Motivez correctement vos oppositions aux contraintes de l’URSSAF !Comment contester un redressement de cotisations URSSAF ?Signification de contrainte par huissier de justice comment se dĂ©fendre ?AVOCAT MSA – MutualitĂ© Sociale AgricoleAvocat Caisse d’Assurance Retraite et de la SantĂ© au Travail CARSAT – Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse CNAVAVOCAT Commission de Recours Amiable CRAMotivez bien votre saisine de la Commission de Recours Amiable !Que faire Ă  rĂ©ception ou en l’absence de rĂ©ception d’une dĂ©cision de la Commission de Recours Amiable CRA ?Attention au contenu de votre lettre de saisine de la commission de recours amiable !AVOCAT PĂŽle Social du Tribunal JudiciaireSignification de contrainte par huissier de justice comment se dĂ©fendre ?Avocat Juge de l’exĂ©cution JEXSaisie-attribution sur votre compte bancaire par l’URSSAF Comment vous dĂ©fendre ?AVOCAT Conseil de Prud’hommesAVOCAT COUR D’APPELAVOCAT Caisse Primaire d’Assurance Maladie CPAMAVOCAT Accident du travail – Maladie professionnelleAVOCAT Faute inexcusable de l’employeurQu’est-ce que la faute inexcusable de l’employeur ?Comment un employeur peut-il se dĂ©fendre contre un salariĂ© demandant la reconnaissance de sa faute inexcusable ?ACTUALITÉSCONTACTSCONSULTATIONSACCUEILEric ROCHEBLAVEPrĂ©sentationLa Presse en parleAvis ClientsAVOCAT SPÉCIALISTEAvocat SpĂ©cialisteMontpellier AVOCATCabinet d’Avocat MontpellierAvocat Droit du Travail MontpellierAVOCAT URSSAFMise en demeure de l’URSSAF que faut-il faire ?Motivez correctement vos oppositions aux contraintes de l’URSSAF !Comment contester un redressement de cotisations URSSAF ?Signification de contrainte par huissier de justice comment se dĂ©fendre ?AVOCAT MSA – MutualitĂ© Sociale 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inexcusable ?ACTUALITÉSCONTACTSCONSULTATIONSACCUEILEric ROCHEBLAVEPrĂ©sentationLa Presse en parleAvis ClientsAVOCAT SPÉCIALISTEAvocat SpĂ©cialisteMontpellier AVOCATCabinet d’Avocat MontpellierAvocat Droit du Travail MontpellierAVOCAT URSSAFMise en demeure de l’URSSAF que faut-il faire ?Motivez correctement vos oppositions aux contraintes de l’URSSAF !Comment contester un redressement de cotisations URSSAF ?Signification de contrainte par huissier de justice comment se dĂ©fendre ?AVOCAT MSA – MutualitĂ© Sociale AgricoleAvocat Caisse d’Assurance Retraite et de la SantĂ© au Travail CARSAT – Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse CNAVAVOCAT Commission de Recours Amiable CRAMotivez bien votre saisine de la Commission de Recours Amiable !Que faire Ă  rĂ©ception ou en l’absence de rĂ©ception d’une dĂ©cision de la Commission de Recours Amiable CRA ?Attention au contenu de votre lettre de saisine de la commission de recours amiable !AVOCAT PĂŽle Social du Tribunal JudiciaireSignification de contrainte par huissier de justice comment se dĂ©fendre ?Avocat Juge de l’exĂ©cution JEXSaisie-attribution sur votre compte bancaire par l’URSSAF Comment vous dĂ©fendre ?AVOCAT Conseil de Prud’hommesAVOCAT COUR D’APPELAVOCAT Caisse Primaire d’Assurance Maladie CPAMAVOCAT Accident du travail – Maladie professionnelleAVOCAT Faute inexcusable de l’employeurQu’est-ce que la faute inexcusable de l’employeur ?Comment un employeur peut-il se dĂ©fendre contre un salariĂ© demandant la reconnaissance de sa faute inexcusable ?ACTUALITÉSCONTACTSCONSULTATIONSCoronavirus et fermeture des Ă©coles salariĂ©s parents vous pouvez peut-ĂȘtre arrĂȘter de travailler et ĂȘtre indemnisĂ©s Voir l'image agrandie Coronavirus et fermeture des Ă©coles salariĂ©s parents vous pouvez peut-ĂȘtre arrĂȘter de travailler et ĂȘtre indemnisĂ©sCoronavirus et fermeture des Ă©coles salariĂ©s parents vous pouvez peut-ĂȘtre arrĂȘter de travailler et ĂȘtre indemnisĂ©sA lire Ă©galement CoronaVirus les salariĂ©s peuvent-ils exercer leur droit de retrait ? Coronavirus les salariĂ©s mis en quarantaine ont droit sans condition Ă  des indemnitĂ©s journaliĂšres pendant 20 jours CoronaVirus les employeurs doivent-ils mettre des masques de protection Ă  la disposition de leurs salariĂ©s ? CoronaVirus employeurs, mettez Ă  jour votre document unique d’évaluation des risques! Coronavirus comment recourir au chĂŽmage partiel ? Coronavirus un salariĂ© malade est-il fautif de continuer Ă  travailler ? Coronavirus des dĂ©clarations d’arrĂȘt de travail simplifiĂ©es pour les salariĂ©s parentsDans le cadre des mesures visant Ă  limiter la diffusion du coronavirus COVID-19, un nouveau service en ligne, », est créé par l’Assurance Maladie pour simplifier les demandes d’arrĂȘt de est destinĂ© aux employeurs afin qu’ils dĂ©clarent en ligne leurs salariĂ©s contraints de rester Ă  domicile Ă  la suite de la fermeture de l’établissement accueillant leur enfant crĂšches et Ă©tablissements scolaires.Cette dĂ©claration fait office de demande d’arrĂȘt de travail, sous certaines conditions dĂ©taillĂ©es bĂ©nĂ©ficiaires de ces arrĂȘts de travailPour limiter la diffusion du coronavirus, les autoritĂ©s publiques ont dĂ©cidĂ© la fermeture temporaire, dans certaines communes, de crĂšches et d’établissements ont Ă©galement dĂ©cidĂ© le confinement Ă  domicile des enfants vivant dans ces communes, mĂȘme si ceux-ci n’y sont pas mesures exceptionnelles s’accompagnent d’une prise en charge exceptionnelle d’indemnitĂ©s journaliĂšres par l’Assurance Maladie pour les parents qui n’ont pas d’autre possibilitĂ© pour garder leurs enfants que celle d’ĂȘtre placĂ©s en arrĂȘt de travailLe tĂ©lĂ©service » de l’Assurance Maladie est destinĂ© aux employeurs des parents leur permet de dĂ©clarer les parents Ă  qui un arrĂȘt de travail doit ĂȘtre dĂ©livrĂ© dans ce tĂ©lĂ©service concerne tous les assurĂ©s, quels que soient leurs rĂ©gimes d’affiliation Ă  la SĂ©curitĂ© sociale ou la forme de leur contrat de conditions de versement des indemnitĂ©s journaliĂšresLe versement d’indemnitĂ©s journaliĂšres sera rendu possible aux conditions suivantes seuls les parents d’enfants de moins de 16 ans au jour du dĂ©but de l’arrĂȘt sont concernĂ©s par le dispositif ;les enfants doivent ĂȘtre scolarisĂ©s dans un Ă©tablissement fermĂ© ou ĂȘtre domiciliĂ©s dans une des communes concernĂ©es. Les listes des communes sont rĂ©guliĂšrement mises Ă  jour sur les sites Internet des rectorats, il est recommandĂ© de s’y rĂ©fĂ©rer pour confirmer que l’établissement de l’enfant est bien situĂ© sur l’une de ces communes ;un seul parent ou dĂ©tenteur de l’autoritĂ© parentale peut se voir dĂ©livrer un arrĂȘt de travail. À cet Ă©gard, le salariĂ© doit fournir Ă  son employeur une attestation sur l’honneur certifiant qu’il est le seul Ă  demander un arrĂȘt de travail dans ce cadre ;l’entreprise ne doit pas ĂȘtre en situation de mettre, sur cette pĂ©riode, l’employĂ© concernĂ© en tĂ©lĂ©travail l’arrĂȘt de travail doit ĂȘtre la seule solution de travail sera dĂ©livrĂ© pour une durĂ©e de 14 jours calendaires Ă  compter de la date de dĂ©but de l’ dĂ©clarations faites sur ce tĂ©lĂ©service » ne dĂ©clenchent pas une indemnisation se fait aprĂšs vĂ©rification par l’Assurance Maladie des Ă©lĂ©ments transmis et sous rĂ©serve de l’envoi, selon les procĂ©dures habituellement employĂ©es, des Ă©lĂ©ments de salaire Ă  la caisse de sĂ©curitĂ© sociale d’affiliation de l’employĂ© tout autre motif d’arrĂȘt, les modalitĂ©s de signalement des arrĂȘts de travail restent inchangĂ©es et sont Ă  retrouver sur la page DĂ©marches de l’employeur en cas d’arrĂȘt de travailAttention, » n’est pas un tĂ©lĂ©service de dĂ©claration des personnes prĂ©sentant des symptĂŽmes du coronavirus ou infectĂ©es par cette maladie, ces derniers relevant d’un arrĂȘt de travail prescrit par un mĂ©decin. Pour toute question liĂ©e au coronavirus, il est recommandĂ© d’appeler le 15 en cas de question d’ordre mĂ©dical ou le 0800 130 000 appel gratuit, 7 jours sur 7, de 8 h Ă  21 n° 2020-73du 31 janvier 2020 portant adoption de conditions adaptĂ©es pour le bĂ©nĂ©fice des prestations en espĂšces pour les personnes exposĂ©es au coronavirus modifiĂ© par le DĂ©cret n° 2020-227 du 9 mars 2020 adaptant les conditions du bĂ©nĂ©fice des prestations en espĂšces d’assurance maladie et de prise en charge des actes de tĂ©lĂ©mĂ©decine pour les personnes exposĂ©es au covid-19 Article 1 En application de l’article L. 16-10-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, afin de limiter la propagation de l’épidĂ©mie de 2019-n-Cov, les assurĂ©s qui font l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction ou de maintien Ă  domicile ainsi que ceux qui sont parents d’un enfant de moins de seize ans faisant lui-mĂȘme l’objet d’une telle mesure et qui se trouvent, pour l’un de ces motifs, dans l’impossibilitĂ© de continuer Ă  travailler peuvent bĂ©nĂ©ficier, au titre de cet arrĂȘt de travail, des indemnitĂ©s journaliĂšres prĂ©vues aux articles L. 321-1, L. 622-1 du mĂȘme code et L. 732-4 et L. 742-3 du code rural et de la pĂȘche maritime dans les conditions suivantes -les conditions d’ouverture de droit mentionnĂ©es aux articles L. 313-1 et L. 622-3 du code de la sĂ©curitĂ© sociale et L. 732-4 du code rural et de la pĂȘche maritime ne sont pas requises ;-le dĂ©lai mentionnĂ© au premier alinĂ©a de l’article L. 323-1 du mĂȘme code, au cinquiĂšme alinĂ©a de l’article L. 732-4 du code rural et de la pĂȘche maritime Ă  l’expiration duquel les indemnitĂ©s journaliĂšres sont accordĂ©es ne s’applique pas. La durĂ©e maximale pendant laquelle chaque assurĂ© exposĂ© et faisant l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction et de maintien Ă  domicile peut bĂ©nĂ©ficier des indemnitĂ©s journaliĂšres versĂ©es dans ces conditions est fixĂ©e Ă  vingt jours. Pour les assurĂ©s qui sont parents d’un enfant de moins de seize ans faisant lui-mĂȘme l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction et de maintien Ă  domicile, les indemnitĂ©s journaliĂšres peuvent ĂȘtre versĂ©es pendant toute la durĂ©e de fermeture de l’établissement accueillant cet 2 Par dĂ©rogation aux dispositions de l’article L. 321-2 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, l’arrĂȘt de travail des assurĂ©s mentionnĂ©s Ă  l’article 1er est Ă©tabli par la caisse d’assurance maladie dont ils dĂ©pendent ou, le cas Ă©chĂ©ant, par les mĂ©decins conseils de la caisse nationale d’assurance maladie et de la caisse centrale de mutualitĂ© sociale agricole qui le transmettent sans dĂ©lai Ă  l’employeur de l’ 2 bis Pour les patients prĂ©sentant les symptĂŽmes de l’infection ou reconnus atteints du covid-19, il peut ĂȘtre dĂ©rogĂ© aux dispositions conventionnelles prises en application du 1° de l’article L. 162-14-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale s’agissant 1° Du respect du parcours de soins coordonnĂ© et de la connaissance prĂ©alable du patient nĂ©cessaire Ă  la facturation des actes de tĂ©lĂ©consultation lorsque le patient n’est pas en mesure de bĂ©nĂ©ficier d’une tĂ©lĂ©consultation dans les conditions de droit commun ; dans ce cas, en application de la convention nationale organisant les rapports entre les mĂ©decins libĂ©raux et l’assurance maladie prise en application du mĂȘme article, la tĂ©lĂ©consultation s’inscrit prioritairement dans le cadre d’organisations territoriales coordonnĂ©es ;2° Du champ de prise en charge et de la limitation du nombre de tĂ©lĂ©expertises 3 Les dispositions du prĂ©sent dĂ©cret peuvent ĂȘtre mises en Ɠuvre jusqu’au 30 avril 2020 »Vos avis sur MaĂźtre Eric ROCHEBLAVEEric ROCHEBLAVE Avocat SpĂ©cialiste en Droit du Travail et Droit de la SĂ©curitĂ© Sociale Barreau de Montpellier SpĂ©cialiste en Droit du Travail et Droit de la SĂ©curitĂ© Sociale Eric ROCHEBLAVE2020-03-13T104416+0100Mots-clĂ©s ameli, arrĂȘt de travail, Assurance Maladie, CoronaVirus, Covid-19, dĂ©claration simplifiĂ©e, dĂ©clarations d’arrĂȘt de travail simplifiĂ©es pour les salariĂ©s parents, dĂ©clarations simplifiĂ©es, Ă©coles fermĂ©es, fermeture des Ă©coles, salariĂ©s parentsCommentaires fermĂ©s sur Coronavirus et fermeture des Ă©coles salariĂ©s parents vous pouvez peut-ĂȘtre arrĂȘter de travailler et ĂȘtre indemnisĂ©sLe savoir est une richesse qui se partage ! 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LĂ©cole se doit d’accueillir TOUS les enfants Ă  partir de 3 ans sans distinction (c’est dans la loi) Les enfants autistes peuvent bĂ©nĂ©ficier de l’aide d’une Auxiliaire de Vie Scolaire personnelle qui les aide Ă  comprendre le monde et Ă  interagir avec les autres.

Tous les internats et les Ésat restent ouverts. Pour les externats, c’est au cas par cas. Un accompagnement Ă  domicile doit ĂȘtre mis en place pour les parents gardant leur enfant chez eux. À situation sanitaire exceptionnelle, dĂ©cisions exceptionnelles. Le gouvernement a ajustĂ©, dimanche soir, les mesures concernant les personnes handicapĂ©es. Car leur Ă©tat de santĂ© les rend plus fragiles et vulnĂ©rables aux complications de santĂ©. Internats ouverts ; externats au cas par cas Les rĂ©sidents ne pourront plus sortir le week-end. Les internats pour les enfants et les adultes fonctionnant 365 jours sur 365 sont maintenus ouverts. Mais les familles sont libres d’opter pour le retour Ă  domicile de leur proche. Pour freiner la propagation du virus, les visites sont suspendues. ExceptĂ© dans certaines situations particuliĂšres pour lesquelles l’absence de lien avec un aidant serait particuliĂšrement prĂ©judiciable risque de dĂ©compensation, troubles du comportement
. De plus, les rĂ©sidents ne pourront plus sortir le week-end. Sauf exception, sous rĂ©serve d’un avis mĂ©dical. A contrario, certains externats ont d’ores et dĂ©jĂ  fermĂ© leurs portes, dĂšs ce lundi 16 mars. Cette dĂ©cision peut ĂȘtre motivĂ©e par la situation sanitaire locale. Ou la volontĂ© de l’association gestionnaire de redĂ©ployer du personnel vers les internats restĂ©s ouverts. Des indemnitĂ©s pour les parents gardant leur enfant La situation contraint ainsi de nombreux parents Ă  garder leur enfant handicapĂ© Ă  domicile. Quelle qu’en soit la raison », ils bĂ©nĂ©ficieront d’une prise en charge financiĂšre. La SĂ©curitĂ© sociale leur versera des indemnitĂ©s journaliĂšres. Surtout, les Ă©tablissements et services mĂ©dico-sociaux ont pour mission, d’organiser un service minimum d’appui aux familles ». Au plus tard pour ce lundi. Les Ésat accueillent les travailleurs Les Ésat vont rĂ©duire leur activitĂ© et mettre en place des mesures de vigilance renforcĂ©e. Les Ésat restent ouverts. Mais ils doivent mettre en place des mesures de vigilance renforcĂ©e. Ils vont organiser la rĂ©duction de leurs activitĂ©s au strict minimum. Y compris pour les mises Ă  disposition et les unitĂ©s de travail hors les murs. En tenant compte des spĂ©cificitĂ©s de cette activitĂ© professionnelle », prĂ©cise toutefois le gouvernement. Actualisation le 16 mars Ă  18h00 de nombreux lecteurs nous signalent, sur Facebook, que leur Ésat a fermĂ©. Actualisation le 17 mars suite au confinement mis en place Ă  compter de ce 17 mars, d’autres Ésat ont fermĂ© leurs portes. Mais certains continuent d’assurer une activitĂ© minimum. Les centres de rééducation professionnelle fermĂ©s Ces centres ainsi que ceux de prĂ©-orientation ont fermĂ© leurs portes. Chaque fois que possible », les stagiaires bĂ©nĂ©ficieront d’une formation Ă  distance. Un accueil temporaire pour les personnes ne pouvant rester Ă  domicile Le gouvernement annonce Ă©galement une mobilisation des solutions d’accueil temporaire, dans les Ă©tablissements, afin de recevoir, au besoin, les personnes isolĂ©es ne pouvant rester Ă  domicile. Cela peut concerner celles dont le proche aidant serait malade. Ou bien encore les cas oĂč une personne en situation de handicap vivant seule, dans sa famille, ou dans un habitat partagĂ©, ne disposerait plus d’une continuitĂ© d’accompagnement suffisante Ă  son domicile ». Les MDPH doivent traiter les demandes de PCH en urgence Les MDPH n’assurent plus d’accueil physique. © CD29 – F. Betermin Il n’y a plus d’accueil physique dans les Maisons dĂ©partementales des personnes handicapĂ©es MDPH. Hormis dans les seuls cas de rendez-vous justifiĂ©s car situation d’urgence. Les MDPH doivent donc mettre en place un accueil tĂ©lĂ©phonique renforcĂ©. Et adapter les modalitĂ©s de fonctionnement des commissions des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH pour qu’elles puissent prendre les dĂ©cisions urgentes. De plus, les demandes des personnes que l’épidĂ©mie contraint Ă  revenir Ă  domicile, et jusque-lĂ  accueillies en Ă©tablissement mĂ©dico-social, vont bĂ©nĂ©ficier d’un circuit de traitement court. Les demandes de prestation de compensation du handicap PCH doivent ĂȘtre, dans ce cadre, traitĂ©es sans dĂ©lai », demande le gouvernement. Il y a en effet urgence Ă  organiser, et Ă  financer, l’aide humaine nĂ©cessaire. Un systĂšme de gardes d’enfants pour les professionnels du mĂ©dico-social Les professionnels mĂ©dico-sociaux comptent parmi les personnels prioritaires pour bĂ©nĂ©ficier des systĂšmes de gardes d’enfants organisĂ©s par l’Éducation nationale et ses partenaires. Ils peuvent s’inscrire sur le site pour demander une place d’accueil.
Introductionloi: 6 juin 2016 cause: fin de vie difficile - soins palliatifs Conditions Les médecins peuvent-ils refuser une demande d'aide médical à mourir? aide à fournir: pharmacien, membres de familles conséquences: ThÚse Avis professionnel CollÚge des médecins du Québec
L’apprentissage des diffĂ©rents modes de communication utilisĂ©s auprĂšs des jeunes dĂ©ficients auditifs est ce qui apparaĂźt d’emblĂ©e comme une prioritĂ©. Il ne faudrait pas pour autant rĂ©duire la complexitĂ© de la fonction de l’AVS Ă  ce seul aspect. En effet au delĂ  de cet apprentissage, d’autres savoir-faire sont nĂ©cessaires comme Comprendre et respecter les diffĂ©rents modes de communication Comprendre et respecter les diffĂ©rentes mĂ©thodes pĂ©dagogiques Comprendre et respecter les rĂŽles des uns et des autres 1. Apprendre les diffĂ©rents modes de communication Pour comprendre et se faire comprendre d’un enfant dĂ©ficient auditif, on est amenĂ© Ă  utiliser diffĂ©rents modes de communication qui vont de la dĂ©ictique Ă  l’écriture en passant par le mime, le dessin, la lecture labiale, le LPC, La dactylologie, le français parlĂ© signĂ© complĂ©tĂ©, la LSF ou Langue de signes Française, le français signĂ©. Evidemment au-delĂ  de la souplesse que requiĂšre une telle adaptabilitĂ©, certains de ces modes de communication comme le LPC, la dactylologie demandent un apprentissage rigoureux. C’est pour la LSF que l’apprentissage sera le plus long puisqu’il s’agit ni plus ni moins de s’approprier une langue. Ces apprentissages supposent une grande capacitĂ© Ă  mĂ©moriser, une aisance corporelle, et une dextĂ©ritĂ©. 2. Comprendre et Respecter les diffĂ©rents modes de communication Non seulement il faut pouvoir apprendre ces diffĂ©rents modes de communication mais Ă©galement les comprendre pour savoir les utiliser Ă  bon escient. En effet le choix de tel ou tel mode de communication est fonction Du respect du choix des parents. Les parents utilisent chez eux ces diffĂ©rents modes de communication et quand certains parents refusent d’intĂ©grer dans leur pratique la LSF, d’autres refusent le LPC pendant que d’autres encore dĂ©cident d’utiliser l’un et l’autre. De l’ñge de l’enfant et de son degrĂ© de surditĂ©. Pour les plus petits la dĂ©ictique, le mime ou le dessin seront les bienvenus tandis qu’ils s’attĂ©nueront progressivement par la suite tout au long de la scolaritĂ©. Pour des enfants qui rĂ©cupĂšrent relativement bien au niveau prothĂ©tique, si l’ambiance est favorable d’un point de vue sonore, l’AVS incitera l’enfant Ă  pratiquer la lecture labiale mais dĂšs qu’il y aura du bruit masquant ou une fatigue, ilelle sera vigilant Ă  apporter ce soutien visuel que reprĂ©sentent tous les modes de communications citĂ©s ci-dessus. Avec un sourd profond qui ne rĂ©cupĂšre quasiment rien du point de vue prothĂ©tique et qui donc n’a que la vue pour saisir l’information, l’AVS s’appuiera essentiellement sur ces aides visuelles mais par contre ilelle pourra ĂȘtre amenĂ© Ă  les varier en fonction de la forme de la communication, explication magistrale, Ă©change avec les Ă©lĂšves, visites Ă  l’extĂ©rieur etc. De l’activitĂ© pĂ©dagogique en cours. Pendant une sĂ©ance de numĂ©ration, de calcul mental, de lecture ou d’orthographe grammaticale, suivant qu’on veut insister sur le sens, sur tel rapport ou encore sur tel accord, l’AVS choisira le mode de communication qui sera le plus adaptĂ© pour faire passer le message du professeur des Ă©coles. Ainsi, par exemple, est-il plus facile de marquer une diffĂ©rence de lettres avec la dactylologie et une diffĂ©rence de sons avec le LPC. 3. Comprendre et respecter les diffĂ©rentes mĂ©thodes pĂ©dagogiques Choisir avec pertinence entre tous ces modes de communication, celui qui, par rapport Ă  l’enfant, sera le plus efficace pour faire passer le message du professeur des Ă©coles, suppose une bonne comprĂ©hension de la mĂ©thode pĂ©dagogique en mĂȘme temps que son respect. Il en est de mĂȘme pour les actions trĂšs ponctuelles de remĂ©diation pĂ©dagogique qui seront rĂ©alisĂ©es par l’AVS en concertation avec le professeur des Ă©coles. Quand on connaĂźt les diffĂ©rentes mĂ©thodes de lecture ou encore les diffĂ©rentes approches de la numĂ©ration ou de la division, cette tĂąche est loin d’ĂȘtre aussi simple qu’il y paraĂźt ! Elle suppose un certain dĂ©tachement en mĂȘme temps qu’un rĂ©el intĂ©rĂȘt pour la dĂ©marche pĂ©dagogique puisqu’il faut s’effacer pour respecter en tout point le choix pĂ©dagogique du professeur des Ă©coles tout en se l’appropriant. Cette appropriation rapide de plusieurs mĂ©thodes pĂ©dagogiques suppose des capacitĂ©s d’analyse rapides et performantes. 4. Comprendre et respecter le rĂŽle des uns et des autres La situation d’intĂ©gration oblige l’AVS Ă  se positionner de façon trĂšs claire par rapport Ă  l’enfant concernĂ©, aux autres enfants de l’école, Ă  toute l’équipe pĂ©dagogique, aux parents ainsi qu’à l’orthophoniste. L’enfant qui est au centre de cette intĂ©gration, doit comprendre les responsabilitĂ©s des uns et des autres sans jamais les confondre. Il faut, pour que le professeur des Ă©coles reste le garant de la scolaritĂ© et de l’autoritĂ©, que l’AVS exerce une prĂ©sence discrĂšte qui, par son savoir-faire spĂ©cifique entre en complĂ©mentaritĂ© avec celui du professeur des Ă©coles sans jamais s’y substituer. Cela demande une comprĂ©hension fine de la situation. Ceci est d’autant plus important que les diffĂ©rents acteurs peuvent ne pas maĂźtriser parfaitement cette situation et entraĂźner l’AVS hors de son champ de compĂ©tence. Ainsi doit-elle renvoyer vers le professeur des Ă©coles, le parent qui demande des nouvelles des progrĂšs en mathĂ©matique de son enfant et par contre, rĂ©pondre trĂšs simplement Ă  cet autre enfant dans la cour qui s’étonne de la voix bizarre de l’enfant sourd. L'UNAPEDA est une association pluraliste, ouverte, et permet donc l'expression des diverses sensibilitĂ©s sur son site. Les articles publiĂ©s engagent leurs auteurs et ne signifient aucunement que notre association aurait, d'une quelconque maniĂšre, dĂ©cidĂ© de privilĂ©gier l'opinion qu'ils expriment au dĂ©triment de toutes les autres
L'AVS est au service de l'enfant et de l'institution scolaire (l'école), et non au service des parents. > Le référent en matiÚre scolaire reste l'enseignant de la classe et demeure l'interlocuteur principal des parents

Mon fils va avoir 4 ans mais est atteint de troubles psychomoteurs pour lesquels il est suivi depuis 2 ans1/2. En raison de ces troubles et d'un commun accord entre nous ses parents, l'enseignante et l'équipe médicale qui le suit, en septembre dernier, il a fait sa rentrée mais tout au long de l'année est allé à l'école de maniÚre trÚs partielle seulement 2 demi matinées / semaine. En Février/Mars, l'équipe pédagogique a demandé une AVS pour cette rentrée 2009. On l'a obtenue sans difficulté. Sauf que... sauf que... L'organisme qui juge de la nécessité ou pas de l'AVS est DIFFERENT de celui qui les "gÚre". Ce qui signifie que, sur le papier, on l'a, et pas dans les faits. A ce jour, une semaine avant la Rentrée, on ne sait toujours pas si oui ou non une AVS est désignée pour notre enfant. On ne sait donc pas non plus si oui ou non notre enfant fera sa rentrée, et si oui, quand. On ne sait pas non plus comment nous organiser, s'il faut ou pas prendre une joiurnée pour la Rentrée et quand, etc.... Je trouve cela inadmissible. Et aprÚs, tout le monde fera de beaux discours sur l'intégration des handicapés -et des enfants handicapés- dans la Cité. Pour les parents, qui tous les jours doivent faire face et assumer les difficultés de leur enfant, s'ajoutent les incertitudes engendrées par des institutions et administrations pour qui nous ne sommes que des N°. Voilà, c'était un coup de gueule !

Sils rencontrent des obstacles, les parents peuvent toujours contacter la cellule « Aide handicap Ecole ». Nous nous plaçons toujours du cÎté des familles. H : Combien d'enfants handicapés sont-ils scolarisés ? VDH : Le nombre d'enfants handicapés scolarisés est passé de 127 000 en 2004 à 187 500 en 2009, soit une augmentation de 48

En Ă©coutant tous les marronniers de rentrĂ©e sur toutes les chaĂźnes et en Ă©tant tombĂ©e hier soir sur un dĂ©bat enregistrĂ© visiblement en juin sur la chaĂźne parlementaire, on voit que tous ceux qui veulent changer » et rĂ©nover » l’école pour redonner de l’attractivitĂ© au mĂ©tier d’enseignant ne connaissent rien Ă  son essence mĂȘme qui est la transmission des connaissances et ils se f.. d’ailleurs des connaissances en gĂ©nĂ©ral, probablement parce qu’ils pensent que leur propre culture suffisante est personnellement acquise sans aide extĂ©rieure ils raisonnent en terme d’industrie heures, rendement, coĂ»ts - pensant Ă  augmenter les horaires des professeurs lĂ  oĂč il faudrait augmenter les horaires matiĂšres, rĂ©duire les vacances pour former les professeurs Ă  internet, lĂ  oĂč il faudrait leur laisser le temps de mettre Ă  jour leurs connaissances dans ma matiĂšre de lire et rĂ©flĂ©chir et d’ailleurs de se ressourcer nerveusement car oui il le faut pour tenir bon et enfin, arme massive, les primes au mĂ©rite comme si l’éducation des enfants demandait des exploits spĂ©ciaux aux enseignants et non la tranquillitĂ© quotidienne du travail bien fait. Bref ceux qui pensent politiquement l’école sont Ă  la fois trop paresseux intellectuellement pour s’en informer vraiment ou ne le peuvent pas car ils sont par trop formatĂ©s intellectuellement pour imaginer d’autres recettes que celles imaginĂ©es dans le monde industriel pour produire plus de saucissons au meilleur coĂ»t . C’est exactement pareil qu’à l’ n’ose reprendre la rĂ©flexion Ă  partir de lĂ  oĂč on s’est fourvoyĂ©s avec une belle utopie le collĂšge unique, la massification et l’écrasement de toute la structure y compris universitaires par une masse d’élĂšves mal formĂ©s Ă  tout et qui n’ont aucune chance de rĂ©ussite - et finalement la seule Ă©galitĂ© oĂč on a progressĂ© est l’égalitĂ© dans l’échec. MĂȘme la question des rĂ©munĂ©rations en dĂ©pend puisqu’on ne peut payer convenablement une profession qui s’est elle aussi massifiĂ©e et que l’on ne cesse de dĂ© professionnaliser par des recrutements sans qualifications suffisantes
Bon courage Ă  ceux qui oseraient y rĂ©flĂ©chir
.DerniĂšre Ă©dition par IphigĂ©nie le Mer 24 AoĂ» 2022 - 704, Ă©ditĂ© 2 foisManu7Érudit valle a Ă©crit Manu7 a Ă©critAujourd'hui, c'est la loterie, ceux qui sont contratuels depuis 2 ou 3 ans tiennent relativement bien la route, car sinon ils sont Ă©cartĂ©s mais comme la crise devient Ă©norme on commence aussi Ă  garder dans le circuit des contractuels malgrĂ© les avis dĂ©favorables des CDE !!! On marche sur la tĂȘte, on voit de tout c'est vraiment inquiĂ©tant, j'ai dĂ©jĂ  vu des Ă©lĂšves me demander de venir plus souvent remplacer un contractuel les larmes aux yeux... Et au passage, je me dis que si tous les contractuels pouvaient passer 5 Ă  10 minutes devant un IPR pour ĂȘtre recrutĂ©s cela ne ferait pas de mal car on oublie que beaucoup ne passent mĂȘme pas par ce dispositif et on se retrouve parfois avec des cas trĂšs limite totalement incompĂ©tents voire presque dangereux. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'estimer les possibilitĂ©s qu'un contractuel soit compĂ©tent et d'en conclure qu'elles sont trop basses pour ce qui serait idĂ©al c'est la loterie. Le problĂšme est qu'un contractuel n'a pas Ă©tĂ© recrutĂ© selon la procĂ©dure statutaire, point les "Ă©preuves" de sĂ©lection ont Ă©tĂ© autres et son recrutement n'a pas permis a tous les candidats de concourir librement, c'est peut imaginer une situation oĂč tous les contractuels seraient largement plus diplĂŽmĂ©s que les titulaires, par exemple c'est peut-ĂȘtre le cas ça ne change rien au fait que leur prĂ©sence est, selon l'architecture institutionnelle, une exception, et que le contrat ne peut pas ĂȘtre vu comme une alternative au statut. Je suis totalement d'accord avec toi, mais j'abordais une autre facette du problĂšme, dans la rĂ©alitĂ© tout comme Ă  France TĂ©lĂ©com, quand on casse le statut mis en place on se retrouve toujours au final avec une Ă©norme proportion d'incapables. Et je pense sincĂ©rement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es avait eu le mĂȘme dĂ©bat dans le premier dĂ©grĂ© avec la mise en place des FAPE, je me souviens que sur France Inter un cĂ©lĂšbre pĂ©dopsychiatre disait que les PE Ă©taient inquiets car ils avaient peur que des personnes moins qualifiĂ©e soient meilleurs qu'eux... Les PE avaient simplement peur que des personnes incompĂ©tentes soient responsables des enfants, et la rĂ©alitĂ© leur a donnĂ© raison, en dehors de quelques intervenants qui proposaient des activitĂ©s enrichissantes et qui souvent ne restaient pas longtemps, le reste Ă©tait d'un niveau ridicule et dans ma commune les adjoints au maire s'arrachaient les cheveux pour faire comprendre qu'il Ă©tait essentiel de ne pas partir avant l'arrivĂ©e des parents Ă  la fin de la sĂ©ance. zigmag17VĂ©nĂ©rable Cleroli a Ă©crit Sliv a Ă©critBonjour, ce matin sur le figaro live vers 10h, notre cher ministre se faisait filmer en direct du rectorat de l'acadĂ©mie de CrĂ©teil pour la rĂ©union de la cellule qui gĂšre les contractuels et TZR. Je n'ai vu que les vingt derniĂšres minutes. En tant que TZR, un passage m'a interpellĂ© un des responsables expliquait qu'ils avaient mis en place une politique de fidĂ©lisation des contractuels. Autrement dit, sur certaines zones les contractuels passent en prioritĂ© sur les AFA devant les TZR... Ce n'est donc pas une lĂ©gende urbaine... Je ne crois pas que l'extrait vidĂ©o ait Ă©tĂ© postĂ©, le voici unamusedAuverlot, recteur de l'acadĂ©mie de CrĂ©teil, explique au ministre Ndiaye qu'il s'assoit dans certains cas sur les statuts des profs et de la Fonction Publique Notre politique, ça a Ă©tĂ© de fidĂ©liser les contractuels et de les faire passer avant les titulaires »SNESFSU green_apple Du pognon pour les profs! moneybag Ithyphallique August 23, 2022 Manifestement le Recteur a bien accompli la mission qui lui a Ă©tĂ© confiĂ©e et "cela" plaĂźt. vous dĂ©couvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlĂ© de ce problĂšme dans mon acadĂ©mie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloquĂ©s au profit de contractuels dans certains lycĂ©esbeaverforeverHabituĂ© du forumSi vous allez faire un tour sur Canope, vous trouverez plein de formations pour les contractuels, soit gĂ©nĂ©ralistes qu'est-ce qu'un CPE ? Qu'est-ce qu'un chef d'Ă©tablissement? ou par IphigĂ©nie a Ă©critMais vous dĂ©couvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlĂ© de ce problĂšme dans mon acadĂ©mie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloquĂ©s au profit de contractuels dans certains lycĂ©es A cette Ă©chelle oui, je le dĂ©couvre. Je pensais que c'Ă©tait rare, un pis-aller; pas que c'Ă©tait devenu une mĂ©thode. On en parlait et j'ai dĂ©couvert cette situation ici, en lisant des tĂ©moignages .CaroNiveau 9 les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! valleFidĂšle du forum Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramĂšne tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ???zigmag17VĂ©nĂ©rable valle a Ă©crit Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ??? Par choix il me semble que c'est pour ne pas subir le systĂšme des mutations non?JacqMonarqueLa pĂ©nurie a Ă©tĂ© organisĂ©e depuis plus de 20 ans, la contractualisation Ă©tait mĂȘme prĂ©sentĂ©e par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'Ă©poque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivitĂ© du mĂ©tier, la difficultĂ© Ă  muter et la difficultĂ© Ă  recruter causes et consĂ©quences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence Ă  se voir sage Manu7 a Ă©crit Et je pense sincĂ©rement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. C'est basĂ© sur quoi ? Ton observation personnelle ?C'est uniquement les contractuels ou les nouveaux titulaires sont aussi en dessous de ceux des annĂ©es 2000 ?zigmag17VĂ©nĂ©rable Jacq a Ă©critLa pĂ©nurie a Ă©tĂ© organisĂ©e depuis plus de 20 ans, la contractualisation Ă©tait mĂȘme prĂ©sentĂ©e par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'Ă©poque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivitĂ© du mĂ©tier, la difficultĂ© Ă  muter et la difficultĂ© Ă  recruter causes et consĂ©quences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence Ă  se voir lourdement. C'est ça. Le cĂŽtĂ© public, assumĂ©, auto-satisfait, du ministre, des recteurs et consorts, colore la contractualisation de soufre et de dĂ©sespoir je m'entraine pour le prochain Printemps des PoĂštes !En attendant, tout le monde va bien du forum valle a Ă©crit Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramĂšne tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-ĂȘtre qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas ratĂ© le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restĂ©e contractuelle par du forum Lowpow29 a Ă©crit valle a Ă©crit Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramĂšne tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-ĂȘtre qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas ratĂ© le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restĂ©e contractuelle par choix. Mais ça en revanche semble comporter un jugement gĂ©nĂ©ral sur les collĂšgues il y aurait des contractuels "par obligation" qui ont ratĂ© le concours, qui peuvent bouger mais n'en ont pas envie, etc. et des contractuels "par choix" qui n'ont pas tentĂ© le concours ou qui l'ont eu, qui sont contraints de rester dans une commune..., avec le sous-entendu que les contractuels "par choix" sont les "bons", je serait comme dire qu'il y a des titulaires "par choix" qui ont eu le poste souhaitĂ©, ou qui avaient dĂ©jĂ  un travail et on choisi de se reconvertir... et "par contrainte" mutĂ©s par extension ou qui ont eu le concours parce que c'Ă©tait la suite "logique" Ă  leurs Ă©tudes.CaroNiveau 9Aucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tentĂ© le concours. J'ai trĂšs vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon Ă©poux Ă  l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon du forum Caro a Ă©critAucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tentĂ© le concours. J'ai trĂšs vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon Ă©poux Ă  l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon choix. Mais quels sont les contractuels qui ne le sont pas "par choix" ?RuthvenGuide spirituelSophie VĂ©nĂ©titay fait le job dans sa rĂ©action Ă  la vidĂ©o de D. Auverlot et opportunisme en instrumentalisant la crise de recrutement pour aller toujours plus loin dans la remise en cause du statut et en piĂ©tinant les droits des titulaires. Inadmissible !Le statut de fonctionnaire donne des obligations mais aussi des droits. Il s’inscrit dans la conception d’un fonctionnaire citoyen. Et c’est peut-ĂȘtre ça qui dĂ©range, vu l’entreprise de casse du statut et de promotion de la contractualisation menĂ©e par depuis les luttes Ă  venir, la dĂ©fense du statut sera centrale. C’est dĂ©fendre nos droits, mais aussi une certaine conception du service public ambitieuse, dĂ©mocratique et au service de l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral."CaroNiveau 9J'ai croisĂ© certains contractuels qui ne parviennent pas avoir le concours et donc qui ne le sont donc pas par choix. Lisak40FidĂšle du forumCaro C'est Ă©tonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisĂ©, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement Ă  tort ou Ă  raison qu'ils n'ont pas les capacitĂ©s pour pour le rĂ©ussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon Ă©tabliseement des problĂšmes de nationalitĂ© contractuels non citoyens europĂ©ens. La plupart des contractuels croisĂ©s passent le concours assez rapidement quand mĂȘme, et souvent le rĂ©ussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. AprĂšs il y a des exceptions contractuel longue durĂ©e, tout Ă  fait capable d'avoir le concours, sans problĂšme de nationalitĂ©, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est gĂ©nĂ©ralement pas un problĂšme-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontrĂ© 500 contractuels...DerniĂšre Ă©dition par Lisak40 le Mer 24 AoĂ» 2022 - 846, Ă©ditĂ© 1 foisvalleFidĂšle du forum Lisak40 a Ă©critCaro C'est Ă©tonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisĂ©, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement Ă  tort ou Ă  raison qu'ils n'ont pas les capacitĂ©s pour pour le rĂ©ussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon Ă©tabliseement des problĂšmes de nationalitĂ©s contractuels non citoyens europĂ©ens. La plupart des contractuels croisĂ©s passent le concours assez rapidement quand mĂȘme, et souvent le rĂ©ussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. AprĂšs il y a des exceptions contractuel longue durĂ©e, tout Ă  fait capable d'avoir le concours, sans problĂšme de nationalitĂ©, sans famille conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est gĂ©nĂ©ralement pas un problĂšme-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontrĂ© 500 contractuels... Je pense surtout que tout travailleur est fini lĂ  oĂč il est pas une suite de choix contraints. Quelqu'un en reconversion qui aurait Ă©chouĂ© au concours pourrait se dire "j'ai quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de postuler en tant que contractuel par choix, alors que Caro est juste devenue enseignante afin de pouvoir suivre son conjoint". C'est comme classer les titulaires selon le nombre de fois qu'ils ont tentĂ© le concours, ou dire qu'on est certifiĂ© ou agrĂ©gĂ© "par choix" puisqu'on aurait pu tenter le concours de Perdir alors qu'on en connaĂźt qui ne le sont pas "par choix" parce qu'ils ont essayĂ© un concours du ministĂšre des finances et ont on a tous fait des choix. Autant je comprends trĂšs bien le deuxiĂšme post oĂč Caro explique qu'elle ne regrette pas son choix, autant s'exclamer qu'elle est contractuelle "par choix !" me paraĂźt crĂ©er des catĂ©gories peu c'est un HS, je crains, donc j'arrĂȘte, mĂȘme s'il y a un lien avec la rentrĂ©e comme quoi il serait mieux n'avoir jamais tentĂ© un concours plutĂŽt que ne l'avoir pas eu, puisqu'on devient un simple travailleur "par dĂ©faut".DerniĂšre Ă©dition par valle le Mer 24 AoĂ» 2022 - 843, Ă©ditĂ© 3 foisCaroNiveau 9Lisak 40 C'est valable en France mĂ©tropolitaine ce que tu avances, c'est vrai. Par contre, ce n'est pas le cas pour l' 9Tout Ă  fait d'accord avec toi Valle. Bonne reprise Ă  tous / toutes. Pour ma part, je suis toujours en attente d'une affectation et le stress commence Ă  Lisak40 a Ă©critAprĂšs il y a des exceptions contractuel longue durĂ©e, tout Ă  fait capable d'avoir le concours, sans problĂšme de nationalitĂ©, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est gĂ©nĂ©ralement pas un problĂšme-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontrĂ© 500 contractuels... Certains ne veulent pas subir le systĂšme de mutations. Certes, rester en RP est gĂ©nĂ©ralement possible, mais quand on est titulaire, on peut ĂȘtre loin de la zone visĂ©e et on ne peut pas refuser des postes. Lisak40FidĂšle du forumEn effet Caro Je ne connais pas la situation en OM, ni mĂȘme dans les autres acadĂ©mies. Et pour le coup tu fais partie des contractuels qui ne passent pas le concours pour pouvoir rester avec leur conjoint, ce qui me semble un raison tout Ă  fait normale et comprĂ©hensible et de toutes les façons je ne cherche pas Ă  juger, mais Ă  comprendre. Bon courage pour la suite !Jenny En effet, je n'avais pas pensĂ© Ă  cet Ă©tat de fait, toutefois cela me semble quand mĂȘme une raison difficile Ă  comprendre car il est trĂšs facile d'obtenir CrĂ©teil ou Versailles, et si on est motorisĂ© se dĂ©placer dans l'acadĂ©mie n'est Ă  priori jamais trop difficile. Si on est mutĂ© Ă  Paris, lĂ  encore avec les transports en commun le dĂ©placement n'est pas un problĂšme. C'est justement une des raisons qui me fait rester en RP je ne peux pas conduire mĂ©dicalement dĂ©conseillĂ©. Alors certes il y a mĂȘme en RP des coins plus difficile Ă  joindre que d'autres, mais Ă  ma connaissance aucun qui soit totalement inaccessible en transports. OU bien je n'ai pas compris ton message ?DerniĂšre Ă©dition par Lisak40 le Mer 24 AoĂ» 2022 - 855, Ă©ditĂ© 1 foisBaldredFidĂšle du forumL'Ă©tat des lieux du recours aux contractuels sur France Info au mieux des candidats repĂȘchĂ©s plutĂŽt qu'issus de job dating, au mieux 4 jours de formation ... ou rien, au mieux une affection.... ou pas...J'ai dĂ» manquer l'info c'est quand notre journĂ©e de grĂšve ? Certains contractuels veulent Paris intra muros. Dans ma matiĂšre, ce n'est pas simple Ă  obtenir, loin de lĂ . Certains disent qu'ils refusent les services partagĂ©s... Certains postes trĂšs confortables sont bloquĂ©s pour les contractuels. Un CDE peut plus facilement garder un contractuel qu'un TZR. Sur les salaires... oui, l'acadĂ©mie oĂč un stagiaire ou nĂ©tit sur 3 ne rejoint pas son poste... Sujets similairesWeek-end de rentrĂ©e, vendredi aprĂšs-midi, mois de juin, 2eme jour de prĂ©-rentrĂ©e Jean-Michel Zakhartchouk, retraitĂ©, invite les enseignants Ă  travailler nouveau pour les AVS et AED les AVS deviennent AESH, et les AED pourront remplacer les et suppressions de postes Ă  la rentrĂ©e chiffres primaire et secondaireLa pĂ©nurie des enseignants de Math existe-t-elle dans les lycĂ©es privĂ©s ?Secondaire - RentrĂ©e 2012 280 enseignants recrutĂ©s Ă  la rentrĂ©e 2012Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

ISabellede Mezerac, présidente de l'association SPAMA explique à quel moments les parents peuvent avoir besoin d'une aide.
Quel est le cadre sanitaire applicable dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires ?L’accueil des Ă©lĂšves au sein des Ă©coles et des Ă©tablissements scolaires se fait dans le respect du cadre sanitaire en vigueur pour cette annĂ©e de mettre en Ɠuvre des mesures proportionnĂ©es, cohĂ©rentes avec les mesures applicables en population gĂ©nĂ©rale, le ministĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse a Ă©tabli, en lien avec les autoritĂ©s sanitaires, une graduation comportant un socle de mesures et trois niveaux de protocole socle de mesures ;niveau 1 / niveau vert ;niveau 2 / niveau orange ;niveau 3 / niveau analyse rĂ©guliĂšre de la situation Ă©pidĂ©mique est assurĂ©e par le ministĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, en lien avec le ministĂšre de la SantĂ© et de la PrĂ©vention, sur la base notamment des indicateurs fournis par SantĂ© publique France pour diffĂ©rentes Ă©chelles territoriales. La dĂ©termination du niveau applicable s’appuie sur une analyse qualitative nature et caractĂ©ristiques des variants et quantitative situation hospitaliĂšre notamment de la situation. Le passage d’un niveau Ă  un autre sera dĂ©cidĂ© par les autoritĂ©s nationales et pourra concerner tout ou partie du cadre sanitaire est disponible sur le site du sera le niveau du cadre sanitaire applicable Ă  la rentrĂ©e scolaire 2022 ?Compte tenu de la situation sanitaire et des rĂšgles applicables en population gĂ©nĂ©rale, la rentrĂ©e scolaire se dĂ©roulera, sur l’ensemble du territoire national, avec la seule application des mesures prĂ©vues par le socle, c’est-Ă -dire l’application en milieu scolaire des recommandations Ă©mises par les autoritĂ©s sanitaires pour l’ensemble de la Ă©lĂšves sont accueillis pour des cours en prĂ©sentiel. Les activitĂ©s physiques et sportives se dĂ©roulent sans restriction, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. La limitation du brassage, des regroupements et des rĂ©unions n’est pas requise. En revanche, il demeure recommandĂ© un lavage rĂ©gulier des mains ou la mise Ă  disposition de solutions hydroalcooliques ;une aĂ©ration rĂ©guliĂšre des locaux 10 minutes toutes les heures ou la vĂ©rification du bon fonctionnement et de l’entretien des systĂšmes de ventilation mĂ©canique ;un nettoyage quotidien et une dĂ©sinfection rĂ©guliĂšre des surfaces et points de contact frĂ©quemment niveau de protocole pourra ĂȘtre modifiĂ© en cas de dĂ©gradation de la situation sanitaire. La dĂ©termination du niveau applicable s’appuiera sur une analyse qualitative nature et caractĂ©ristiques 3 des variants et quantitative situation hospitaliĂšre notamment de la situation. En cas de renforcement du protocole passage au niveau 1 ou 2 par exemple, un dĂ©lai de mise en Ɠuvre de 10 jours sera Ă©lĂšves et les personnels doivent-ils porter des masques ?Que ce soit pour le socle ou pour les trois niveaux de protocole, les rĂšgles relatives au port du masque applicables aux adultes et aux enfants en population gĂ©nĂ©rale s’appliquent au milieu scolaire les rĂšgles applicables Ă  l’espace public pour les espaces extĂ©rieurs et celles applicables aux Ă©tablissements recevant du public de mĂȘme nature pour les espaces intĂ©rieurs. Elles sont dĂ©finies par les autoritĂ©s moment de la rentrĂ©e scolaire 2022, le port du masque n’est pas requis en population gĂ©nĂ©rale. Il n’est donc pas requis en milieu scolaire, ni pour les personnels, ni pour les Ă©lĂšves. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle Ă  ce que les Ă©lĂšves ou les personnels qui le souhaitent portent le masque. Le port du masque ne peut en revanche ĂȘtre imposĂ© tant aux Ă©lĂšves qu’aux aux recommandations des autoritĂ©s sanitaires, le port du masque en intĂ©rieur est fortement recommandĂ©, Ă  partir de 6 ans, pour les personnes contacts Ă  risque durant les 7 jours aprĂšs la survenue du cas confirmĂ© ainsi que pour les cas confirmĂ©s durant les 7 jours suivant leur pĂ©riode d’isolement. Il est Ă©galement recommandĂ© pour les personnes Ă  risque de forme est le niveau de protection des masques fournis par le ministĂšre de l’Education nationale ?Les personnels de l’éducation nationale intervenant dans les Ă©coles, les collĂšges et les lycĂ©es sont dotĂ©s, s’ils le souhaitent, de masques chirurgicaux jetables de type II ou capteurs CO2 sont-ils recommandĂ©s ?Il est recommandĂ© d’équiper les Ă©coles et Ă©tablissements scolaires de capteurs CO2 mesure de la concentration en CO2 Ă  l’aide de capteurs permet en effet d’évaluer le niveau de renouvellement d’air et par consĂ©quent de dĂ©terminer la frĂ©quence d’aĂ©ration nĂ©cessaire pour chaque local ;de contrĂŽler le bon fonctionnement de la ventilation dans les bĂątiments oĂč le renouvellement de l’air est assurĂ© par des installations durant une ou deux journĂ©es dans une classe, un capteur CO2 mobile permet Ă  l’enseignant d’identifier Ă  quelles frĂ©quence et durĂ©e il est nĂ©cessaire d’aĂ©rer la classe, et d’adapter les pratiques d’aĂ©ration en fonction de sa configuration volume, niveau d’occupation, caractĂ©ristiques des bĂątiments
.Le capteur mobile pourra Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© aux moments propices de la journĂ©e dans les locaux connaissant des pics de frĂ©quentation exemple de la cantine Ă  l’heure de dĂ©jeuner et aider Ă  dĂ©terminer la frĂ©quence et la durĂ©e des mesures d’ ailleurs, ce dĂ©ploiement permet une sensibilisation des Ă©lĂšves et des personnels Ă  l’importance de l’aĂ©ration dans le cadre d’une approche pĂ©dagogique, par exemple par l’enseignement des mĂ©canismes de propagation des virus, de la qualitĂ© de l’air intĂ©rieur, de la respiration, ou de la technologie des capteurs. La fabrication de capteurs en milieu scolaire ainsi que l’implication des reprĂ©sentants des Ă©lĂšves sont infographie expliquant le rĂŽle et l’utilisation des capteurs de CO2 est disponible sur le site du dĂ©ploiement des purificateurs d’air est-il recommandĂ© ?Les purificateurs d’air ne peuvent en aucun cas se substituer aux apports d’air extĂ©rieur. Ils ne permettent pas non plus de s’affranchir des mesures de prĂ©vention de la transmission du SARS-CoV-2 par contact avec des surfaces contaminĂ©es et par contact ou inhalation de gouttelettes Ă©mises par une personne dans les situations exceptionnelles oĂč une ventilation naturelle ou mĂ©canique ne permet pas un taux de renouvellement de l’air intĂ©rieur suffisant, les dispositifs de purification d’air peuvent ĂȘtre utilisĂ©s en complĂ©ment. Il convient de s’assurer au prĂ©alable que la technologie envisagĂ©e ne gĂ©nĂšre pas de risques pour la Haut conseil de la santĂ© publique recommande Ă  cet Ă©gard dans un avis en date du 14 et 21 mai 2021 de n’implanter que des unitĂ©s mobiles de purification d’air par filtration HEPA H13 ou H14 ou taux de filtration Ă©quivalent, respectant les normes relatives aux filtres et aux performances intrinsĂšques de l’appareil ;de prĂ©voir, pour chaque implantation d’unitĂ©s mobiles de purification de l’air dans un lieu donnĂ©, une Ă©tude technique prĂ©alable par une personne qualifiĂ©e ou par le fournisseur Ă©tude devra permettre d’identifier et prĂ©ciser, entre autres le volume du local Ă  traiter ;les aĂ©rations et ventilations existantes en identifiant les flux d’air naturels ou forcĂ©s ;le nombre d’appareils Ă  prĂ©voir pour assurer une filtration suffisante de l’air de la piĂšce Ă  traiter en prĂ©voyant au minimum de filtrer chaque heure 5 fois le volume du local ;la disposition des appareils compte tenu des obstacles Ă©ventuels Ă  la circulation de l’air et du besoin d’éviter les flux vers les visages des entretien rĂ©gulier suivant les prĂ©conisations du fournisseur devra impĂ©rativement ĂȘtre rĂ©alisĂ©. Il conviendra enfin de s’assurer, pour limiter la dispersion des gouttelettes, que ces purificateurs n’engendrent pas des vitesses d’air trop Ă©levĂ©es au niveau des sont les recommandations pour le fonctionnement des cantines scolaires ?La restauration scolaire est assurĂ©e par les collectivitĂ©s dans le respect des dispositions rĂ©glementaires et des mesures prescrites par le cadre sanitaire applicable Ă  l’école ou l’établissement attention particuliĂšre est apportĂ©e au renouvellement de l’air dans les espaces de restauration et Ă  l’hygiĂšne des mains. Le recours au capteur CO2 est personnels travaillant dans les Ă©coles et Ă©tablissements scolaires bĂ©nĂ©ficient-ils d’autotests gratuits ?Oui, s’ils le souhaitent, tous les personnels travaillant au contact des Ă©lĂšves dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires personnels relevant de l’éducation nationale, des collectivitĂ©s territoriales et de l’enseignement agricole notamment peuvent obtenir gratuitement des autotests en prĂ©sentation d’une attestation professionnelle Ă©tablie et remise par l’employeur service acadĂ©mique, collectivitĂ© territoriale
 ainsi que d’une piĂšce d’identitĂ©, chaque bĂ©nĂ©ficiaire se verra dĂ©livrer 10 autotests par mois.
Dansl'Académie de Poitiers, plusieurs enfants handicapés, ayant une notification de la MDPH pour un accompagnement par une AVS, se sont vu refuser l'affectation de cette AVS par l'Inspection Académique. Ces enfants ne peuvent pas suivre correctement en classe sans le soutien d'une auxiliaire auprÚs d'eux. Bien sur, cela n'est pas sans
anonyme12 Nouveau membre Bonsoir. Je suis Ă©tudiant en prĂ©pa et mon pĂšre a demandĂ© a mon insu un AVS, comme j'avais au lycĂ©e. Sauf que ça me sert absolument a rien, je prend tout a l'ordi. Bref j'ai appris hier que j'aurais un AVS Lundi alors que j'en ai pas du tout besoin 15 h par semaine en plus, je sais pas comment je vais le placer car ça me sert vraiment a rien. Comment m'en dĂ©barrasser rapidement ? En fait j'avais juste Ă©voquĂ© l'idĂ©e d'avoir un AVS en septembre de l'annĂ©e derniĂšre a la rĂ©union de prĂ©rentrĂ©e, mais je n'ai fais aucune dĂ©marche en ce sens car je me suis vite rendu compte que ça me servirait a rien. Comment ça se fait qu'on puisse m'obtenir un AVS sans que je remplisse ou signe un dossier ? Comment ça se fait que mes parents soient au courant AVANT moi de ce qui me concerne ? Je trouve ça scandaleux, je suis majeur. En fait je sais pas du tout comment ça se passe au niveau de mon dossier, mes parents ne m'en parlent pas du tout je ne vis plus avec eux. Bref aidez moi car c'est vraiment gĂȘnant, pour tout vous dire j'ai pas du tout envie d'aller en cours je vais probablement prĂ©texter avoir attrapĂ© le covid, car c'est hors de question que je me claque la honte pour devoir me supporter un assistant qui ne me sert a rien. Bien cordialement... Quote Topic starter PostĂ© 19/09/2020 855 Bonjour normalement en prĂ©pa tu es capable de gĂ©rer ta dyslexie car tu as dĂ©jĂ  un bon niveau d'Ă©tude ce qui est pas si simple pour d'autres formes dys . Si tu penses y arriver et j'en doute pas dis a tes parents qu une AVS ne servira a rien car tu as compris ta façon de fonctionner. Elle ne pourra pas entrer dans ta logique . Ca servira Ă  rien . Qu'il te laisse le temps d'apprendre et de gĂ©rer ta façon de faire il faut du temps mais tu es sur la bonne voie . Bon courage RĂ©pondreQuote tes parents se sont sans doute battu longtemps pour que tu arrive la ou tu en est, et comme tout enfant handicapĂ©e, ils ont du mal Ă  te laissĂ© faire tes propre choix, j'ai connu cela aussi, ils ont mis tellement de temps Ă  comprendre que je ne les ait pratiquement plus vue pendant plusieurs mois, finalement avec le temps ils finissent par comprendre et mĂȘme par te laisser faire des erreurs. Essaye de leur expliquĂ© qui ce n'est pas possible pour toi de rĂ©ussir tes Ă©tudes avec un avs, que ça ne serais que perte de temps... mais je ne suis pas sur qu'ils comprennent aussi rapidement. bon courage. RĂ©pondreQuote natanael Membre Ă©minent Simplement en parler avec l'AVS, je pense qu'elle connais les dĂ©marches administrative pour ĂȘtre moins prĂ©sent. Peut-ĂȘtre que le point handi, assistance social ? connais les dĂ©marches pour allĂ©ger ce dispositif. RĂ©pondreQuote
Laquestion de la maman : Je suis une jeune maman de 26 ans. Je vous contacte car je suis désemparée. Mon fils est né avec des problÚmes de santé, il a été opéré à sa naissance d'un
Les parents d'un enfant handicapĂ© scolarisĂ© dans une Ă©cole maternelle Ă  Paris, en attente depuis deux ans d'un auxiliaire de vie scolaire AVS pour aider leur enfant en classe, ont dĂ©posĂ© un rĂ©fĂ©rĂ© devant le tribunal administratif de Paris. 14 octobre 2006 ‱ Par ThĂšmes Paris, 13 oct 2006 Selon le SNUipp-FSU, principal syndicat des Ă©coles primaires qui a signalĂ© cette situation dans un communiquĂ©, "une famille du XIXe arrondissement de Paris a dĂ©cidĂ© de porter cette carence de l'Etat devant le tribunal administratif. Pour son enfant, la prĂ©sence de l'Auxiliaire de Vie Scolaire est indispensable en classe". ContactĂ© par l'AFP, le pĂšre de cet enfant autiste ĂągĂ© de 5 ans, Roch Sonnet a expliquĂ© qu'il a cessĂ© de renouveler depuis deux ans les demandes d'un AVS pour son fils. "J'avais obtenu l'an dernier l'affectation Ă  mi-temps d'un AVS, je n'ai rien vu venir. J'ai Ă©crit Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie, au mĂ©diateur de la RĂ©publique, au secrĂ©taire d'Etat chargĂ© de l'EgalitĂ© des chances, je n'ai rien obtenu du tout !", a dĂ©plorĂ© le pĂšre de cet enfant scolarisĂ© Ă  l'Ă©cole de la rue de la PrĂ©voyance XIXe. "Nous avons donc dĂ©posĂ© un rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ© mercredi au tribunal administratif pour non application de la dĂ©cision de nous accorder un AVS", a prĂ©cisĂ© M. Sonnet. Aucun nouvel AVS n'a Ă©tĂ© affectĂ© pour son fils depuis la rentrĂ©e. "Plus le temps passe, plus son handicap avance faute d'une vraie prise en charge Ă  l'Ă©cole. Et aprĂšs, les autoritĂ©s nous suggĂšrent de mettre notre enfant dans des centres spĂ©cialisĂ©s, alors qu'il ne souffre pas d'un handicap lourd", a-t-il ajoutĂ©. Selon Edouard Rosselet, l'inspecteur d'acadĂ©mie chargĂ© du premier degrĂ© Ă  Paris, "deux AVS ont Ă©tĂ© implantĂ©s dans cette Ă©cole mais ces deux emplois ne sont pas occupĂ©s car ces deux personnes ont dĂ©missionnĂ©, c'est une situation anormale mais pas un dĂ©faut de prĂ©voyance". M. Rosselet a prĂ©cisĂ© Ă  l'AFP qu'il allait "tout de suite envoyer une personne en remplacement". Selon AgnĂšs Duguet, responsable du dossier adaptation et scolarisation des Ă©lĂšves handicapĂ©s au Snuipp-FSU de Paris, "100 Ă  150 Ă©lĂšves handicapĂ©s se retrouvent dans ce cas dans la capitale et sont contraints de rester Ă  la maison". phi/lum/ds Partager sur Tous droits de reproduction et de reprĂ©sentation rĂ©servĂ©s.© 2022 Agence les informations reproduites sur cette page sont protĂ©gĂ©es par des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©tenus par l'AFP. Par consĂ©quent, aucune de ces informations ne peut ĂȘtre reproduite, modifiĂ©e, rediffusĂ©e, traduite, exploitĂ©e commercialement ou rĂ©utilisĂ©e de quelque maniĂšre que ce soit sans l'accord prĂ©alable Ă©crit de l'AFP. L'AFP ne pourra ĂȘtre tenue pour responsable des dĂ©lais, erreurs, omissions qui ne peuvent ĂȘtre exclus, ni des consĂ©quences des actions ou transactions effectuĂ©es sur la base de ces informations ». ThĂšmes
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